par admin | Sep 26, 2016 | Promenades
Chaque année, les premiers mardi et jeudi de juillet, Bruxelles fête l’Ommegang, grand cortège historique qui foule les pavés du centre ville jusqu’à la Grand-Place.
Nous y avions assisté il y a quelques années et je souhaitais refaire l’expérience… en compagnie de nos toutous, comme il se doit !
En ce premier jeudi de juillet, la majorité d’entre nous se retrouvèrent donc à la gare de Genval
pour prendre le train vers Bruxelles Centrale ou notre groupe s’étoffa de 4 nouveaux participants accompagnés de leurs chiens.
Nous montâmes d’abord les escaliers en direction du parc royal
où se tenait un marché médiéval assez peu représentatif à cette heure. Nous prîmes le temps de traverser la place royale, d’admirer les cavaliers de la garde rapprochée de Charles Quint
se rendant un lieu de démarrage du cortège puis de redescendre vers le Sablon
où se tenait une joute d’arbalétriers.Beaucoup de monde se pressait pour les voir, de notre côté, nous avions couché nos chiens non loin de quelques policiers de bonne composition et admirions les costumes des figurants qui se rassemblaient peu à peu en prévision du début du cortège.
Des chiens aussi policés devant les policiers… il n’en fallait pas plus pour que les appareils photos des badauds se mettent à fonctionner…
Nous continuâmes notre progression vers l’extrémité de la petite place, un groupe de tentes y abritait des vendeurs de boissons ou d’aliments. Quelle meilleure occasion pour s’offrir un peut en-cas ou pour se désaltérer en attendant le départ des festivités. Nous nous installâmes ensuite au bord du trottoir, avec vue imprenable sur tout ce qui allait passer.
Bientôt le cortège s’ébranla devant l’église du Sablon,
tournant autour de l’église avant de descendre exactement devant nous, en direction de la Grand-Place.En tendant simplement la main, nous aurions pu toucher les chevaux et les participants !
Comble d’intérêt, le carrosse de Charles Quint fit halte juste face à nous, l’occasion de parler avec lui et avec ses hommes d’armes…
en attenant que le groupe s’ébranle.Peu après, nous nous régalâmes d’un lancer de drapeaux époustouflant…
Notre place, aux premières loges, fut très appréciée par notre groupe
mais certains de nos chiens n’en menèrent pas large lorsque passèrent fifres et tambours…
Heureusement, ils purent se ressaisir quelque peu lorsque vint le tour des danseurs, des seigneurs et du « peuple »,
même si Sherwood donna un coup de gueule lorsque la montreuse d’ours passa avec son animal.
Les derniers figurants passés, la circulation fut à nouveau autorisée sur la place, et nous reprîmes le chemin vers la gare où nous ne dûmes attendre que quelques minutes avant l’arrivée de notre train.
Le trajet de retour se passa, comme toujours, dans un silence éloquent : nos toutous étant sainement fatigués de l’aventure…
Dernier détail amusant… Parmi les figurants se trouvaient trois membres du club…
par admin | Juil 17, 2016 | Promenades
Début des vacances d’été…et pas question de laisser tomber notre balade mensuelle, bien évidemment !
Cette fois, nous inaugurions un nouveau concept : le magasin Poils et Plumes de Grez-Doiceau nous invitait à une promenade dans les environs, avec rassemblement sur le parking du magasin.
20 minutes avant le départ, nous étions déjà nombreux à nous saluer, nos chiens faisant de même, et à bavarder de choses et d’autres.La responsable du magasin arriva bientôt avec des sachets de gâteries canines qui firent les délices de nos quatre pattes.A 10h, l’équipe était au complet et nous démarrions, sous la houlette de monsieur « Plume ».
Le passage d’une chaussée puis d’une grand-route bien fréquentée nous amena dans un petit chemin où nos chiens furent libérés et purent découvrir les lieux.Côté météo, même si de sombres nuages traversaient le ciel, empêchant le soleil de se montrer, il faisait sec, c’était le principal.
Après un passage entre haie et mur, nous débouchâmes sur une petite rue menant au cimetière et aux champs.Les traces des orages passés étaient encore bien visibles sous forme de traînées de boue et de gravats.
Plus loin, au bout d’une ruelle, les champs firent leur apparition, nous cheminâmes donc, à la queue leu leu, dans un sentier particulièrement humide mais praticable. Tout à coup, de bruits sourds et réguliers se firent entendre… c’étaient les coups de canon tirés à Wavre, ville située à quelques km, et qui commémorait la bataille du même nom, vécue il y a 2 siècles, à l’époque de Napoléon. Si certains chiens ne remarquèrent rien, d’autres s’inquiétèrent et il fallut les remettre en laisse pour qu’ils ne fuient pas sous l’effet de la panique.
Un peu plus loin, nous nous arrêtâmes pour la photo de groupe. C’était l’occasion de faire le compte des chiens, ils n’étaient pas moins de 37 ! Quant aux maîtres, je n’en ai pas fait le compte mais ils étaient presque aussi nombreux.
A cet endroit, nous avions le choix de poursuivre, avec la perspective d’un trajet très boueux, glissant et prenant plus d’une heure, ou de revenir sur nos pas.
Nous optâmes pour la seconde solution et fîmes donc demi-tour.Un gros quart d’heure plus tard, Bernard, maître de Nala, remonta le groupe en appelant sa chienne et en demandant si quelqu’un l’avait vue… mais nous étions trop nombreux et dispersés, attentif chacun à son ou ses chiens, pour l’avoir repérée…
Ses appels restant vains, nous nous arrêtâmes pour faire un topo de la situation.
Selon moi, la chienne, n’ayant plus de repère direct avec son maître, avait remonté la piste odorante que nous avions laissée et était retournée d’une traite jusqu’à la voiture… mais comment en être sûr ?
Le maître resta donc en arrière tandis que nous continuions notre cheminement.
Bientôt, les chiens furent remis en laisse pour le retour en rue et la traversée des deux chaussées.Quelques minutes plus tard, nous arrivions sur le parking où Nala attendait, un peu inquiète, près de la voiture de son maître.
Pendant que la fugueuse était mise en laisse, un coup de fil rassura immédiatement Bernard sur la situation et l’heureuse fin de la mésaventure.
Ensuite, ce furent les retrouvailles entre les deux, et vous imaginez qu’elles furent pleines d’émotion.
Nos hôtes du jour avaient prévu une boisson pour les maîtres et de l’eau fraîche pour les chiens…
Puis nous visitâmes le magasin, certains en profitant même pour effectuer un achat ou l’autre.
Pendant que certains chiens étaient rincés, nous partîmes, les uns après les autres,
qui vers une autre activité qui vers sa maison… non sans qu’un « dernier carré » constitué de 5 maîtres et 9 chiens ne décide d’aller manger ensemble dans un restaurant proche, où une véranda fut mise exceptionnellement à notre disposition pour l’occasion.
par admin | Juil 12, 2016 | Promenades
Au mois d’avril dernier, notre balade mensuelle nous a conduits autour du lion de Waterloo.
Avec un temps était ensoleillé, nombreux étaient ceux qui avaient décidé de se lever tôt pour nous rejoindre et c’est donc un groupe bien étoffé qui démarra, entre les champs verdoyants.Nos chiens étaient à la fête et quelques tas de fumier bien odorants ajoutèrent à leur plaisir tandis que les maîtres discutaient ou profitaient de la vue et du grand air.
Après les champs, nous dûmes mettre nos toutous en laisse car nous devions longer la N5 durant une petite centaine de mètres au bout desquels nous entrâmes dans un chemin creux qui fit parler de lui sous Napoléon.
A peine étions nous engagé dans ce sentier qu’un joggeur nous croisa et se mit à nous invectiver, estimant probablement qu’il était propriétaire des lieux. Heureusement, Didier ne se laissa pas démonter et en quelques secondes, la tension baissa… nous permettant de reprendre notre progression dans la bonne humeur.
Le sentier déboucha sur une nouvelle étendue de champs, nous étions sur les lieux de la fameuse bataille… et pouvions imaginer ce qu’elle fut.
Plus loin, notre sentier déboucha sur une rue et nos chiens reprirent donc une marche plus calme, pas pour longtemps car nous nous engageâmes bientôt sous des cerisiers sauvages en pleine floraison… et nos toutous purent piquer un nouveau galop.Arrivés au creux du chemin, nous vîmes, au loin, des soldats de l’époque napoléonienne… excellente façon d’apprendre à nous chiens à rester calmement couchés tandis que le régiment défilait au son du tambour…
Nous apprîmes ainsi que, durant tous les dimanches jusqu’à la fin des grandes vacances, une telle reconstitution aurait lieu à cet endroit.
Nous laissâmes les soldats poursuivre leur marche, et reprîmes la nôtre dans les sous-bois avant de retrouver les champs et notre point de départ.
Tandis que bon nombre de participants repartaient chez eux, nous allâmes terminer la balade au restaurant… de quoi satisfaire notre appétit ouvert par le grand air.
par admin | Juil 8, 2016 | Promenades
Cette année, les congés scolaires englobant le vendredi après la fête de l’ascension, nous pouvions profiter d’un long congé de 4 jours pour nous rendre sur la côté d’Opale.
Et la météo nous semblait favorable puisqu’un grand beau temps était annoncé pour toute la fin de semaine !
Si certaines avaient décidé d’y aller depuis le mardi, la majorité des participants partit le mercredi pour rejoindre Coquelles où notre premier rendez-vous était prévu en début de soirée, à l’hôtel.Vu le nombre de participants, nous avions dû réserver non seulement au B&B comme d’habitude mais aussi au Formule 1 qui jouxtait l’hôtel… sur place, nous comprîmes rapidement ce qui se passait : de nombreux gendarmes logeaient dans tous les hôtels de la ville, venus en renfort pour gérer l’afflux de réfugiés désireux de passer en Angleterre…
Dès que toute l’équipe fut rassemblée, nous allâmes souper dans un des restaurants du centre Europe, supermarché plus que luxueux et tout proche de l’hôtel.
Repas terminé, nous allions repartir lorsque les maîtres de Nimrod arrivèrent, venant directement de Belgique… L’équipe s’étoffait !
Après une bonne nuit de sommeil, nous nous retrouvions vers 9h au restaurant du B&B, rejoints par Nadine et son Berger allemand.
Nous prîmes la route pour le cap blanc nez avec escale obligée près de l’obélisque
mais la côte anglaise se déroba à nos regards, enveloppée qu’elle était par une brume de chaleur augurant d’une belle journée.
Par contre, la vue était bien dégagée en direction de Wissant, notre point de ralliement de la mi-journée.Nous descendîmes sur la plage par le cran d’Escalles, nous devions nous dépêcher car la marée était montante
et nous devions impérativement dépasser le tiers de notre trajet pour ne pas être bloqués par l’eau qui nous arrivait déjà aux genoux à certains endroits.
La suite de la balade fut un plaisir tant pour les maîtres que pour les chiens
et bientôt nous foulions le sable de la plage de Wissant.
Pour midi, nous avions réservé au restaurant du Tie Break et, en attendant les plats, nous fîmes même une petite partie de mini golf !
Nous avions tout le temps de reprendre le trajet du retour puisque cette fois, la marée était descendante… et c’est donc tout à l’aise que nous reprîmes le chemin de la plage pour revenir à notre point de départ.Le soir, c’est à la crêperie bretonne, au centre ville, que nous clôturâmes ce 2e jour de plaisirs balnéaires.
Vendredi, nous avions prévu une matinée plage, mais, arrivées sur place, il nous manquait une voiture ! Rita n’avait pas pu démarrer la sienne, heureusement, ce n’était qu’un blocage momentané de la serrure et ce n’est qu’avec un peu de retard qu’elle pu nous rejoindre, accompagnée par Françoise et Mina.
Pour midi, nous nous décidâmes pour une brasserie bien sympathique et comme nous avions l’après-midi « libre » les unes repartirent côté mer tandis que les autres faisaient leurs emplettes dans les nombreux magasins de Calais et des environs.
Le soir, nous testions un restaurant chinois tout proche avant un repos bien mérité. Samedi, Nadine nous quittait de même que toute la famille de Nimrod, mais Michaël et Christine nous retrouvaient… avec leurs deux australiens.
Cette fois, nous comptions aller jusqu’au cap Gris Nez et remonter, par la plage, jusqu’à Wissant. Après avoir garé nos véhicules dans le nouveau parking aménagé, nous prîmes un sentier qui serpentait entre les maisons
La marée était bien basse et commençait à peine à remonter, nous avions donc bien le temps d’admirer les élevages de moules
de descendre jusqu’à la plage, puis de flâner le long du rivage ou de patauger dans les vagues, sous un soleil particulièrement actif et radieux.
Vers midi, nous arrivions à Wissant et prenions un dîner pas très gastronomique dans un petit établissement sans prétention avant de nous offrir une petite douceur glacée à la terrasse du Tie Break
tout en laissant nos chiens prendre un peu de repos.
Rien ne nous pressant, nous reprîmes tout à l’aise le chemin de la plage
où la marée avait commencé sa descente…
l’arrivée à la plage de Tardinghen
fut pour le moins chaotique en effet le seul accès possible nous obligeait à escalader de gros rochers,
dont certains rendus particulièrement glissants par le varech et l’eau.
Chacun dû trouver son chemin, s’aidant mutuellement, prenant appui sur les roches ou même demandant un coup de main à nos chiens… Nadine glissa malencontreusement, se tordant le genou… mais fut heureusement capable de terminer sa progression…
Bientôt, tout le groupe se retrouvait sur une zone plus praticable et rejoindre nos voitures eu tout d’une sinécure après cette aventure.
Michaël et Christine repartaient direction la maison, de notre côté, après un petit tour à l’hôtel pour nous rafraîchir, nous repartions pour le centre Europe où, cette fois, nous testâmes un restaurant italien particulièrement agréable et à la carte succulente.
Après une nuit paisible, le retour vers nos foyers s’annonçait, mais nous allions d’abord nous rendre au platier d’oie, une réserve naturelle située au nord de la ville de Calais.
Le parking, minuscule, accueilli heureusement toutes nos voitures et bientôt, nous entrions dans la réserve. Souci, les chiens devaient y être tenus en laisse… qu’à cela ne tienne, juste avant l’entrée, un sentier menait à la plage, hors réserve. Nous optâmes pour ce chemin et, peu après, nous découvrions une étendue sableuse où nous étions totalement seuls !
Le sable se mélangeait à pas mal de vase, mais qu’importe, les pieds dans l’eau et la tête au soleil, que demander de plus ?
Nos chiens en profitèrent bien évidemment à fond, galopant sur le sable dur, plongeant dans les vagues ou jouant à la balle…Vers midi, nous décidâmes de manger un petit quelque chose dans un établissement tout proche avant de reprendre l’autoroute direction la Belgique… Après un week-end de rêve.
par admin | Juin 13, 2016 | Promenades
En cette mi-février, c’est dans les champs, à Chastre, que nous avions rendez-vous.
La météo, plus que maussade, n’avait toutefois par rebuté les acharnés de la balade et c’est donc un groupe bien étoffé qui s’aventura d’abord dans la rue du hameau puis dans le chemin de remembrement menant aux champs.
Que dire du temps si ce n’est que nous eûmes de la pluie entre les averses mais que chiens et maîtres s’en accommodèrent bien, les premiers se lançant même sur la trace d’un lapin ou lièvre ? Et jouant à qui mieux mieux dans la boue et les flaques,
les seconds, bien au sec dans leurs bottes et vestes, bavardant le plus souvent au sujet des premiers !
Une partie du trajet se faisant en bordure de chaussée, ce fut l’occasion de faire un peu de suite en laisse avant de libérer à nouveau toute notre petite troupe.
Près d’un bosquet, un des chiens découvrit un trésor particulièrement appétissant : la patte, probablement d’un mouton voir d’une vache, assez fraîche et aux os encore bien recouverts de chair.
Quelques audacieux tentèrent de lui voler son bien, mais la demoiselle se montra intraitable et c’est finalement son maître qui lui fit abandonner sa découverte… qu’elle laissa bien à contre-coeur derrière elle.Après un dernier passage sur une rue heureusement peu fréquentée, nous retrouvâmes nos voitures et chacun repris le chemin de sa maison, avec, à bord, une ou plusieurs boules de poils particulièrement crottée et odorante… deux des maîtres passèrent d’ailleurs au dog wash dès la fin de la balade, question de rendre un peu de couleurs naturelles à leur toutou.
par admin | Juin 12, 2016 | Promenades
Neige et gel s’étaient imposés pour cette première promenade de 2016… et certains n’ont pu nous rejoindre ce dimanche matin.
Malgré ces défections, notre groupe était fort d’une bonne vingtaine de personnes et d’autant de chiens…
qui firent connaissance sur le parking du cimetière
avant de s’aventurer dans le sentier par où nous allions débuter la balade.
Côté météo, ciel azur, soleil éblouissant et quasi pas de vent, sol gelé, bref les conditions idéales pour les deux et les quatre pattes.
Le trafic étant réduit à sa plus simple expression, nous pûmes rapidement libérer nos chiens qui s’en donnèrent à cœur joie.. Un petit passage dans un sentier et nous retrouvions pour quelques mètres une route heureusement peu fréquentée.
Ensuite, nous descendîmes un chemin escarpé
qui nous amena dans la vallée de la Lasne.
Nous continuâmes notre progression entre les arbres, saluant deux petits ânes qui tentaient de se réchauffer au soleil.
Soudain, un cycliste déboula
(ah cette habitude d’avoir recyclé la sonnette en garniture de cheminée !!!), un des chiens, bien que mis au couché par sa maîtresse, tenta de mordre le mollet du sportif qui se mit à l’invectiver. Les maîtres calmèrent vite l’énervé, vérifièrent qu’il n’y avait pas de blessure et le cycliste redémarra en maugréant tandis que nous arrivions, un peu plus loin, devant un tout nouveau vignoble !!!Eh oui, c’est la mode dans beaucoup de communes que de replanter des vignes à gauche et à droite… Dans ce cas, les pieds n’étaient pas encore bien grands… mais gageons que dans quelques années, ils donneront un bon petit vin !
Nous arrivâmes ensuite à une rue où nos chiens furent de nouveau mis en laisse. Heureusement pas pour longtemps
et bientôt nous débouchâmes sur les champs et une belle zone dégagée, propice aux galops et découvertes pour nos toutous.
Le chemin gardait la trace des pluies hivernales sous forme de grandes étendues gelées… se brisant sous le poids des maîtres… et permettant à l’un ou l’autre chien de se désaltérer un petit coup.
Les champs laissèrent la place à une zone boisée et habitée… que nous ne traversâmes pas, préférant reprendre en direction des champs.
Un dernier passage de rue et nous arrivions dans une zone à découvert… Quelques ouettes d’Egypte
cherchaient à manger dans un champ proche et ne furent guère déconcertées par notre passage…Le chemin s’encaissait entre les champs (il faut dire qu’il est très vieux puisque des traces de passage datant de l’âge de pierre y ont été trouvés) et nous mena vers une partie basse où les habitations débutaient.
Le temps de reprendre nos chiens en laisse et nous arrivions sur le macadam que nous suivîmes durant une centaine de mètres avant de retrouver notre sentier de départ et enfin le parking.
Nous nous séparâmes mais nous étions quand même 5 à nous retrouver au restaurant pour terminer cette balade bien agréable et tonifiante près d’un feu de bois et autour d’un bon repas.
par admin | Déc 29, 2015 | Promenades
Il y a à peine deux semaines, nous rangions bottes boueuses et vestes humides et voilà que ce dimanche 13 décembre, nous remettions le couvert, à Ohain cette fois, pour une balade haut de gamme !
Nous allions en effet longer le golf de Waterloo durant une petite centaine de mètres.
La pluie s’était invitée depuis quelques jours et c’est donc bien protégés que nous nous retrouvions au lieu de rassemblement.
Le temps de récupérer quelques retardataires trompés par leur GPS et nous démarrions au cœur même du parcours, heureusement désert en ce matin peu engageant.Le sentier étant trop glissant, nous dûmes marcher dans l’herbe pour atteindre le chemin suivant, débouchant dans les champs à la limite de Waterloo.Que dire de la balade sinon qu’elle fut agréable et champêtre, serpentant au sein d’une campagne encore fort préservée… Que nos chiens purent s’en donner à cœur joie dans les flaques et les labourés (je ne vous décris pas leur état final) sans être inquiétés par l’un ou l’autre véhicule.
Qu’une pluie fine et régulière mais heureusement très tempérée alliée à un vent léger et doux firent tout pour percer vestes et pantalons.
Et qu’enfin, nous ne rencontrâmes que quelques rares promeneurs, accompagnés de leur chien, comme il se doit, situation agréable, vous l’imaginez !
La fin de notre périple nous ramena le long des greens et certains durent remettre leur chien en laisse, il n’était en effet pas question que l’un ou l’autre vagabonde sur les terrains tracés au cordeau et où quelques courageux avaient tout de même décidé de braver les éléments pour taper sur quelques balles.Le retour aux voitures se solda par un séchage plus ou moins avancé de nos compagnons…
Pas de resto cette fois, les participants ayant des agendas fort chargés en cette fin d’année…
Chacun s’en retourna satisfait de cette promenade mais je parie que beaucoup durent, comme moi, se changer complètement en rentrant !
par admin | Déc 28, 2015 | Agility
Le « Passe agility »
Raison d’être du « passe agility »
La pratique de l’agility exige que le chien ait une bonne base éducative : il doit être à l’écoute de son maître et suivre ses consignes, avoir un très bon rappel immédiat, ne pas être une gêne pour les autres chiens par son comportement (agression, demande de jeu…).
Dans cette optique, avant de démarrer la discipline, il est nécessaire de vérifier si le couple maître-chien est apte à la pratiquer dans les meilleures conditions.
Informations générales :
Le chien qui démarre les cours collectifs ne pourra participer au cours d’agility qu’après réussite de son « passe », en attendant, il ne pourra accéder qu’aux cours d’obéissance ou de flyball.
Le chien qui n’a pas réussi le passe devrait, idéalement, suivre des cours d’obéissance afin d’améliorer son obéissance et le contrôle du maître sur le chien.
Un chien n’ayant pas suivi de cours d’éducation dans le club devra d’office et obligatoirement passer ET réussir le passe avant de pouvoir jouer.
Un chien peut être présenté au passage du « passe » autant de fois que le maître le souhaite.
Un test de « passe agility » sera organisé chaque mois, un mercredi et un samedi ou à la demande d’au moins un membre. Les maîtres doivent s’y inscrire par mail au secrétariat (info@ciec.be ).
Le passage du « passe » est considéré comme une leçon (1 poinçon sur la carte ou 5 € pour les non membres).
Les dates de passage des « passe » seront annoncées par la lettre mensuelle ainsi que sur le groupe Facebook du CIEC.
Si un chien ayant réussi le « passe » gêne, par son comportement ou sa désobéissance, la bonne marche du cours, le moniteur pourra lui imposer de repasser le « passe » avant de pouvoir continuer à suivre le cours d’agility.
Descriptif du « Passe agility »
Le passe agility comprend 4 exercices d’obéissance distincts qui sont réalisés à la suite l’un de l’autre.
Pour obtenir le « passe », le chien doit les réussir tous les quatre lors d’un même test
Pré requis :
Le chien qui est présenté au « passe agility » porte un collier non étrangleur, une laisse sans anneaux ni mousqueton autre que celui d’attache au collier, une longe de 3 ou 4 m (facultatif). Les harnais sont tolérés à condition que les épaules du chien restent libres (pas de harnais style K9).
Le maître peut utiliser un jouet non bruyant pour capter l’attention du chien. L’usage de nourriture est interdit.
Epreuve 1 :
Rester couché 3 minutes minimum (durée effective déterminée par le moniteur) à sa place, sans aide (ordres supplémentaires, nourriture ou autre), et entouré d’autres chiens (distance de 2 m min entre les chiens). Les chiens qui attendent de passer les autres épreuves du test pourront se lever, se déplacer… sur demande du moniteur.
Le chien qui reste à sa place sans changer de position durant le temps défini réussit l’épreuve.
Epreuve 2 :
2 chiens passent le test en même temps.
2 séries de 2 haies ou de barres de saut sont positionnées en parallèle, l’espace entre les barres ou les haies d’une série est d’environ 4 m et il y a environ 3 m entre les 2 séries de barres ou haies. Si des haies sont utilisées, les barres de celles-ci sont au sol.
Un chien est bloqué (assis ou couché) à 1 m derrière chaque 1e barre ou haie de la série de 2. Le maître va se placer derrière la 2e barre ou haie.
Au signal du moniteur, les maîtres appellent en même temps leur chien. Chaque chien doit aller à son maître (en passant ou non les obstacles) et rester près de ce dernier sans être tenu (ordres autorisés). Après 10 secondes, au signal du moniteur, chaque maître remet son chien en laisse.
Le chien qui va directement à son maître et reste près de lui sans être tenu durant le temps réglementaire réussit l’épreuve.
Epreuve 3 :
2 cônes sont placés à 15 m l’un de l’autre, une autre série de 2 cônes est placée, parallèlement à la première, à 4 ou 5 m de distance. Un chien et son maître se positionnent près d’un cône de la 1e ligne, un autre couple fait de même près du cône opposé de la 2e série. Au signal du moniteur, le 1e couple se déplacent en courant (peu importe la vitesse) jusqu’à l’autre cône tandis que le second couple effectue, parallèlement, le même trajet, en sens inverse et en marchant laisse longue (1.80 m).
Ensuite les deux couples maître-chien repartent vers leur 1e cône en utilisant la 2e vitesse de déplacement (pas pour celui qui a couru et vice-versa).
Le chien qui reste près de son maître, laisse détendue et attentif à ce denier, réussit l’exercice. Une tentative, plus ou moins réussie, de se lancer sur l’autre chien est fautive. Le chien testé devra, alternativement réussir les 2 trajets (au pas et au trot).
Epreuve 4 :
Le chien est positionné en couché à un endroit du terrain, le maître se place à au moins 10 m de lui (emplacement déterminé par l’examinateur).
Au signal de l’examinateur, le maître rappelle son chien, ce dernier doit vernir jusqu’à lui directement et sans ordre supplémentaire et y rester jusqu’à ce qu’il soit remis en laisse. L’utilisation d’un jouet non bruyant et tenu en main est autorisé. Des chiens seront présents sur les terrains proches et occupés à travailler.
par admin | Déc 26, 2015 | Promenades
Un temps très doux pour notre virée de fin novembre, qui allait se faire à la limite entre Waterloo et Rhode Saint Genèse.
Nadine, notre guide, nous avait donné rendez-vous dans une rue en cul de sac, donnant immédiatement sur un petit parc.
Le temps de rassembler les troupes, nombreuses pour l’occasion, et nous entrions dans le sous-bois.
Un peu plus loin, nous arrivâmes le long d’un étang où oies, canards et cormorans se reposaient à l’aise… Comment résister à l’attrait de cette étendue aquatique ?
Plusieurs des chiens piquèrent donc une tête dans l’eau, certains nageant en direction des oiseaux qui, d’un simple coup de palme, s’écartèrent sans s’effrayer plus que cela à la vue de nos toutous.
En sortant du petit parc, nous arrivâmes à la frontière linguistique, et prîmes un sentier entre les champs.
Un peu plus loin, nous longeâmes une ferme…
Malgré un ciel bas et plombé, nous n’essuyâmes que peu de pluie et un vent doux et pas trop fort nous accompagna alors que nous jonglions pour ne pas patauger dans les larges flaques boueuses…
Après les champs, notre chemin serpenta au sein d’une bande plantée d’arbres… de quoi nous protéger de la pluie devenue insistante…
Mais le répit fut de courte durée, car nous nous engageâmes ensuite entre d’autres champs
avant d’arriver à la limite d’une zone habitée.
Nous traversâmes ensuite une alternance d’autres étendues boueuses et de petits ilots boisés
avant de retrouver notre petit parc de départ.
Les chiens décidèrent bien sûr de faire une seconde passe avant de remonter jusqu’aux voitures !
Ensuite, le traditionnel « dernier carré » se retrouva au restaurant afin de se remettre dignement de notre escapade.
par admin | Déc 24, 2015 | Nos chiens, Promenades
A la mi-octobre, Bray-Dunes ressemble un peu à ces villes fantômes du Far-West, la mer et les mouettes en plus, et la musique en moins.
Nous n’étions pas bien nombreux pour l’occasion,
mais qu’importe, nous avions l’occasion de pouvoir arpenter le sable sous un soleil encore relativement doux et nos chiens pourraient se défouler au grand galop !
A peine engagés de quelques dizaines de mètres sur l’estran, une habitante de la ville nous mit en garde : un bateau avait nettoyé ses cuves en pleine mer… provoquant le dépôt de longues plaques de mazout sur le sable… et comme la marée baissait, nous risquions d’encrasser non seulement nos bottes mais surtout les pattes et la fourrure de nos compagnons.
Nous fîmes donc prudemment demi-tour,
toujours en longeant les vaguelettes qui venaient lentement imbiber le sol sous nos pieds.
Des pêcheurs avaient lancés leurs lignes et d’autres cherchaient des vers… autant d’occasions pour Shû, le junior du groupe, de découvrir la vie côtière.Un peu plus loin, nos pas nous amenaient au squelette encore bien visible d’un bateau de guerre échoué.
Sa fonction première avait fait place à une autre, bien plus importante : servir de repères à toute une micro faune et flore marine grâce aux trous d’eau provoqués par les anciennes structures du navire !
Une plaque commémorative décrivait en détail le bâtiment d’origine.
Nous continuâmes notre progression lorsque les Border de la bande s’excitèrent, démarrant au galop… En direction d’une petite fille qui jouait au ballon !
Après un exercice de rappel et couché immédiat, Sylviane récupéra l’objet convoité par les chiens, conseillant à la petite d’attendre avant de recommencer son jeu.
L’heure avançant, nous fîmes demi-tour.
Près des ruines du navire, plusieurs chiens de chasse étaient rassemblés près de leurs maîtres… Nous n’étions pas les seuls amateurs canins à profiter de l’arrière-saison !Quelques uns de nos chiens firent connaissance avec leurs collègues avant de poursuivre la balade.Soudain, nous aperçûmes une crevette géante, joliment dessinée sur la paroi d’un bunker… L’art n’a pas de limites !
Bientôt, nous arrivions à notre point de départ, retrouvant Rita, Laurence et Shû qui avaient préféré nous attendre sur la digue.Le temps de désaltérer nos chiens, d’échanger bottes et bottines de marche contre des chaussures plus légères et nous entrions dans le restaurant où nous avions réservé une table et où nous dégustâmes de délicieux fruits de la mer.
Après ce dîner bien agréable, les uns s’en retournèrent tandis que d’autres faisaient un dernier petit tour sur la plage avant de reprendre la route.