par admin | Juin 12, 2016 | Promenades
Neige et gel s’étaient imposés pour cette première promenade de 2016… et certains n’ont pu nous rejoindre ce dimanche matin.
Malgré ces défections, notre groupe était fort d’une bonne vingtaine de personnes et d’autant de chiens…
qui firent connaissance sur le parking du cimetière
avant de s’aventurer dans le sentier par où nous allions débuter la balade.
Côté météo, ciel azur, soleil éblouissant et quasi pas de vent, sol gelé, bref les conditions idéales pour les deux et les quatre pattes.
Le trafic étant réduit à sa plus simple expression, nous pûmes rapidement libérer nos chiens qui s’en donnèrent à cœur joie.. Un petit passage dans un sentier et nous retrouvions pour quelques mètres une route heureusement peu fréquentée.
Ensuite, nous descendîmes un chemin escarpé
qui nous amena dans la vallée de la Lasne.
Nous continuâmes notre progression entre les arbres, saluant deux petits ânes qui tentaient de se réchauffer au soleil.
Soudain, un cycliste déboula
(ah cette habitude d’avoir recyclé la sonnette en garniture de cheminée !!!), un des chiens, bien que mis au couché par sa maîtresse, tenta de mordre le mollet du sportif qui se mit à l’invectiver. Les maîtres calmèrent vite l’énervé, vérifièrent qu’il n’y avait pas de blessure et le cycliste redémarra en maugréant tandis que nous arrivions, un peu plus loin, devant un tout nouveau vignoble !!!Eh oui, c’est la mode dans beaucoup de communes que de replanter des vignes à gauche et à droite… Dans ce cas, les pieds n’étaient pas encore bien grands… mais gageons que dans quelques années, ils donneront un bon petit vin !
Nous arrivâmes ensuite à une rue où nos chiens furent de nouveau mis en laisse. Heureusement pas pour longtemps
et bientôt nous débouchâmes sur les champs et une belle zone dégagée, propice aux galops et découvertes pour nos toutous.
Le chemin gardait la trace des pluies hivernales sous forme de grandes étendues gelées… se brisant sous le poids des maîtres… et permettant à l’un ou l’autre chien de se désaltérer un petit coup.
Les champs laissèrent la place à une zone boisée et habitée… que nous ne traversâmes pas, préférant reprendre en direction des champs.
Un dernier passage de rue et nous arrivions dans une zone à découvert… Quelques ouettes d’Egypte
cherchaient à manger dans un champ proche et ne furent guère déconcertées par notre passage…Le chemin s’encaissait entre les champs (il faut dire qu’il est très vieux puisque des traces de passage datant de l’âge de pierre y ont été trouvés) et nous mena vers une partie basse où les habitations débutaient.
Le temps de reprendre nos chiens en laisse et nous arrivions sur le macadam que nous suivîmes durant une centaine de mètres avant de retrouver notre sentier de départ et enfin le parking.
Nous nous séparâmes mais nous étions quand même 5 à nous retrouver au restaurant pour terminer cette balade bien agréable et tonifiante près d’un feu de bois et autour d’un bon repas.
par admin | Déc 29, 2015 | Promenades
Il y a à peine deux semaines, nous rangions bottes boueuses et vestes humides et voilà que ce dimanche 13 décembre, nous remettions le couvert, à Ohain cette fois, pour une balade haut de gamme !
Nous allions en effet longer le golf de Waterloo durant une petite centaine de mètres.
La pluie s’était invitée depuis quelques jours et c’est donc bien protégés que nous nous retrouvions au lieu de rassemblement.
Le temps de récupérer quelques retardataires trompés par leur GPS et nous démarrions au cœur même du parcours, heureusement désert en ce matin peu engageant.Le sentier étant trop glissant, nous dûmes marcher dans l’herbe pour atteindre le chemin suivant, débouchant dans les champs à la limite de Waterloo.Que dire de la balade sinon qu’elle fut agréable et champêtre, serpentant au sein d’une campagne encore fort préservée… Que nos chiens purent s’en donner à cœur joie dans les flaques et les labourés (je ne vous décris pas leur état final) sans être inquiétés par l’un ou l’autre véhicule.
Qu’une pluie fine et régulière mais heureusement très tempérée alliée à un vent léger et doux firent tout pour percer vestes et pantalons.
Et qu’enfin, nous ne rencontrâmes que quelques rares promeneurs, accompagnés de leur chien, comme il se doit, situation agréable, vous l’imaginez !
La fin de notre périple nous ramena le long des greens et certains durent remettre leur chien en laisse, il n’était en effet pas question que l’un ou l’autre vagabonde sur les terrains tracés au cordeau et où quelques courageux avaient tout de même décidé de braver les éléments pour taper sur quelques balles.Le retour aux voitures se solda par un séchage plus ou moins avancé de nos compagnons…
Pas de resto cette fois, les participants ayant des agendas fort chargés en cette fin d’année…
Chacun s’en retourna satisfait de cette promenade mais je parie que beaucoup durent, comme moi, se changer complètement en rentrant !
par admin | Déc 28, 2015 | Agility
Le « Passe agility »
Raison d’être du « passe agility »
La pratique de l’agility exige que le chien ait une bonne base éducative : il doit être à l’écoute de son maître et suivre ses consignes, avoir un très bon rappel immédiat, ne pas être une gêne pour les autres chiens par son comportement (agression, demande de jeu…).
Dans cette optique, avant de démarrer la discipline, il est nécessaire de vérifier si le couple maître-chien est apte à la pratiquer dans les meilleures conditions.
Informations générales :
Le chien qui démarre les cours collectifs ne pourra participer au cours d’agility qu’après réussite de son « passe », en attendant, il ne pourra accéder qu’aux cours d’obéissance ou de flyball.
Le chien qui n’a pas réussi le passe devrait, idéalement, suivre des cours d’obéissance afin d’améliorer son obéissance et le contrôle du maître sur le chien.
Un chien n’ayant pas suivi de cours d’éducation dans le club devra d’office et obligatoirement passer ET réussir le passe avant de pouvoir jouer.
Un chien peut être présenté au passage du « passe » autant de fois que le maître le souhaite.
Un test de « passe agility » sera organisé chaque mois, un mercredi et un samedi ou à la demande d’au moins un membre. Les maîtres doivent s’y inscrire par mail au secrétariat (info@ciec.be ).
Le passage du « passe » est considéré comme une leçon (1 poinçon sur la carte ou 5 € pour les non membres).
Les dates de passage des « passe » seront annoncées par la lettre mensuelle ainsi que sur le groupe Facebook du CIEC.
Si un chien ayant réussi le « passe » gêne, par son comportement ou sa désobéissance, la bonne marche du cours, le moniteur pourra lui imposer de repasser le « passe » avant de pouvoir continuer à suivre le cours d’agility.
Descriptif du « Passe agility »
Le passe agility comprend 4 exercices d’obéissance distincts qui sont réalisés à la suite l’un de l’autre.
Pour obtenir le « passe », le chien doit les réussir tous les quatre lors d’un même test
Pré requis :
Le chien qui est présenté au « passe agility » porte un collier non étrangleur, une laisse sans anneaux ni mousqueton autre que celui d’attache au collier, une longe de 3 ou 4 m (facultatif). Les harnais sont tolérés à condition que les épaules du chien restent libres (pas de harnais style K9).
Le maître peut utiliser un jouet non bruyant pour capter l’attention du chien. L’usage de nourriture est interdit.
Epreuve 1 :
Rester couché 3 minutes minimum (durée effective déterminée par le moniteur) à sa place, sans aide (ordres supplémentaires, nourriture ou autre), et entouré d’autres chiens (distance de 2 m min entre les chiens). Les chiens qui attendent de passer les autres épreuves du test pourront se lever, se déplacer… sur demande du moniteur.
Le chien qui reste à sa place sans changer de position durant le temps défini réussit l’épreuve.
Epreuve 2 :
2 chiens passent le test en même temps.
2 séries de 2 haies ou de barres de saut sont positionnées en parallèle, l’espace entre les barres ou les haies d’une série est d’environ 4 m et il y a environ 3 m entre les 2 séries de barres ou haies. Si des haies sont utilisées, les barres de celles-ci sont au sol.
Un chien est bloqué (assis ou couché) à 1 m derrière chaque 1e barre ou haie de la série de 2. Le maître va se placer derrière la 2e barre ou haie.
Au signal du moniteur, les maîtres appellent en même temps leur chien. Chaque chien doit aller à son maître (en passant ou non les obstacles) et rester près de ce dernier sans être tenu (ordres autorisés). Après 10 secondes, au signal du moniteur, chaque maître remet son chien en laisse.
Le chien qui va directement à son maître et reste près de lui sans être tenu durant le temps réglementaire réussit l’épreuve.
Epreuve 3 :
2 cônes sont placés à 15 m l’un de l’autre, une autre série de 2 cônes est placée, parallèlement à la première, à 4 ou 5 m de distance. Un chien et son maître se positionnent près d’un cône de la 1e ligne, un autre couple fait de même près du cône opposé de la 2e série. Au signal du moniteur, le 1e couple se déplacent en courant (peu importe la vitesse) jusqu’à l’autre cône tandis que le second couple effectue, parallèlement, le même trajet, en sens inverse et en marchant laisse longue (1.80 m).
Ensuite les deux couples maître-chien repartent vers leur 1e cône en utilisant la 2e vitesse de déplacement (pas pour celui qui a couru et vice-versa).
Le chien qui reste près de son maître, laisse détendue et attentif à ce denier, réussit l’exercice. Une tentative, plus ou moins réussie, de se lancer sur l’autre chien est fautive. Le chien testé devra, alternativement réussir les 2 trajets (au pas et au trot).
Epreuve 4 :
Le chien est positionné en couché à un endroit du terrain, le maître se place à au moins 10 m de lui (emplacement déterminé par l’examinateur).
Au signal de l’examinateur, le maître rappelle son chien, ce dernier doit vernir jusqu’à lui directement et sans ordre supplémentaire et y rester jusqu’à ce qu’il soit remis en laisse. L’utilisation d’un jouet non bruyant et tenu en main est autorisé. Des chiens seront présents sur les terrains proches et occupés à travailler.
par admin | Déc 26, 2015 | Promenades
Un temps très doux pour notre virée de fin novembre, qui allait se faire à la limite entre Waterloo et Rhode Saint Genèse.
Nadine, notre guide, nous avait donné rendez-vous dans une rue en cul de sac, donnant immédiatement sur un petit parc.
Le temps de rassembler les troupes, nombreuses pour l’occasion, et nous entrions dans le sous-bois.
Un peu plus loin, nous arrivâmes le long d’un étang où oies, canards et cormorans se reposaient à l’aise… Comment résister à l’attrait de cette étendue aquatique ?
Plusieurs des chiens piquèrent donc une tête dans l’eau, certains nageant en direction des oiseaux qui, d’un simple coup de palme, s’écartèrent sans s’effrayer plus que cela à la vue de nos toutous.
En sortant du petit parc, nous arrivâmes à la frontière linguistique, et prîmes un sentier entre les champs.
Un peu plus loin, nous longeâmes une ferme…
Malgré un ciel bas et plombé, nous n’essuyâmes que peu de pluie et un vent doux et pas trop fort nous accompagna alors que nous jonglions pour ne pas patauger dans les larges flaques boueuses…
Après les champs, notre chemin serpenta au sein d’une bande plantée d’arbres… de quoi nous protéger de la pluie devenue insistante…
Mais le répit fut de courte durée, car nous nous engageâmes ensuite entre d’autres champs
avant d’arriver à la limite d’une zone habitée.
Nous traversâmes ensuite une alternance d’autres étendues boueuses et de petits ilots boisés
avant de retrouver notre petit parc de départ.
Les chiens décidèrent bien sûr de faire une seconde passe avant de remonter jusqu’aux voitures !
Ensuite, le traditionnel « dernier carré » se retrouva au restaurant afin de se remettre dignement de notre escapade.
par admin | Déc 24, 2015 | Nos chiens, Promenades
A la mi-octobre, Bray-Dunes ressemble un peu à ces villes fantômes du Far-West, la mer et les mouettes en plus, et la musique en moins.
Nous n’étions pas bien nombreux pour l’occasion,
mais qu’importe, nous avions l’occasion de pouvoir arpenter le sable sous un soleil encore relativement doux et nos chiens pourraient se défouler au grand galop !
A peine engagés de quelques dizaines de mètres sur l’estran, une habitante de la ville nous mit en garde : un bateau avait nettoyé ses cuves en pleine mer… provoquant le dépôt de longues plaques de mazout sur le sable… et comme la marée baissait, nous risquions d’encrasser non seulement nos bottes mais surtout les pattes et la fourrure de nos compagnons.
Nous fîmes donc prudemment demi-tour,
toujours en longeant les vaguelettes qui venaient lentement imbiber le sol sous nos pieds.
Des pêcheurs avaient lancés leurs lignes et d’autres cherchaient des vers… autant d’occasions pour Shû, le junior du groupe, de découvrir la vie côtière.Un peu plus loin, nos pas nous amenaient au squelette encore bien visible d’un bateau de guerre échoué.
Sa fonction première avait fait place à une autre, bien plus importante : servir de repères à toute une micro faune et flore marine grâce aux trous d’eau provoqués par les anciennes structures du navire !
Une plaque commémorative décrivait en détail le bâtiment d’origine.
Nous continuâmes notre progression lorsque les Border de la bande s’excitèrent, démarrant au galop… En direction d’une petite fille qui jouait au ballon !
Après un exercice de rappel et couché immédiat, Sylviane récupéra l’objet convoité par les chiens, conseillant à la petite d’attendre avant de recommencer son jeu.
L’heure avançant, nous fîmes demi-tour.
Près des ruines du navire, plusieurs chiens de chasse étaient rassemblés près de leurs maîtres… Nous n’étions pas les seuls amateurs canins à profiter de l’arrière-saison !Quelques uns de nos chiens firent connaissance avec leurs collègues avant de poursuivre la balade.Soudain, nous aperçûmes une crevette géante, joliment dessinée sur la paroi d’un bunker… L’art n’a pas de limites !
Bientôt, nous arrivions à notre point de départ, retrouvant Rita, Laurence et Shû qui avaient préféré nous attendre sur la digue.Le temps de désaltérer nos chiens, d’échanger bottes et bottines de marche contre des chaussures plus légères et nous entrions dans le restaurant où nous avions réservé une table et où nous dégustâmes de délicieux fruits de la mer.
Après ce dîner bien agréable, les uns s’en retournèrent tandis que d’autres faisaient un dernier petit tour sur la plage avant de reprendre la route.