par admin | Sep 26, 2016 | Promenades
Chaque année, les premiers mardi et jeudi de juillet, Bruxelles fête l’Ommegang, grand cortège historique qui foule les pavés du centre ville jusqu’à la Grand-Place.
Nous y avions assisté il y a quelques années et je souhaitais refaire l’expérience… en compagnie de nos toutous, comme il se doit !
En ce premier jeudi de juillet, la majorité d’entre nous se retrouvèrent donc à la gare de Genval
pour prendre le train vers Bruxelles Centrale ou notre groupe s’étoffa de 4 nouveaux participants accompagnés de leurs chiens.
Nous montâmes d’abord les escaliers en direction du parc royal
où se tenait un marché médiéval assez peu représentatif à cette heure. Nous prîmes le temps de traverser la place royale, d’admirer les cavaliers de la garde rapprochée de Charles Quint
se rendant un lieu de démarrage du cortège puis de redescendre vers le Sablon
où se tenait une joute d’arbalétriers.Beaucoup de monde se pressait pour les voir, de notre côté, nous avions couché nos chiens non loin de quelques policiers de bonne composition et admirions les costumes des figurants qui se rassemblaient peu à peu en prévision du début du cortège.
Des chiens aussi policés devant les policiers… il n’en fallait pas plus pour que les appareils photos des badauds se mettent à fonctionner…
Nous continuâmes notre progression vers l’extrémité de la petite place, un groupe de tentes y abritait des vendeurs de boissons ou d’aliments. Quelle meilleure occasion pour s’offrir un peut en-cas ou pour se désaltérer en attendant le départ des festivités. Nous nous installâmes ensuite au bord du trottoir, avec vue imprenable sur tout ce qui allait passer.
Bientôt le cortège s’ébranla devant l’église du Sablon,
tournant autour de l’église avant de descendre exactement devant nous, en direction de la Grand-Place.En tendant simplement la main, nous aurions pu toucher les chevaux et les participants !
Comble d’intérêt, le carrosse de Charles Quint fit halte juste face à nous, l’occasion de parler avec lui et avec ses hommes d’armes…
en attenant que le groupe s’ébranle.Peu après, nous nous régalâmes d’un lancer de drapeaux époustouflant…
Notre place, aux premières loges, fut très appréciée par notre groupe
mais certains de nos chiens n’en menèrent pas large lorsque passèrent fifres et tambours…
Heureusement, ils purent se ressaisir quelque peu lorsque vint le tour des danseurs, des seigneurs et du « peuple »,
même si Sherwood donna un coup de gueule lorsque la montreuse d’ours passa avec son animal.
Les derniers figurants passés, la circulation fut à nouveau autorisée sur la place, et nous reprîmes le chemin vers la gare où nous ne dûmes attendre que quelques minutes avant l’arrivée de notre train.
Le trajet de retour se passa, comme toujours, dans un silence éloquent : nos toutous étant sainement fatigués de l’aventure…
Dernier détail amusant… Parmi les figurants se trouvaient trois membres du club…
par admin | Juil 17, 2016 | Promenades
Début des vacances d’été…et pas question de laisser tomber notre balade mensuelle, bien évidemment !
Cette fois, nous inaugurions un nouveau concept : le magasin Poils et Plumes de Grez-Doiceau nous invitait à une promenade dans les environs, avec rassemblement sur le parking du magasin.
20 minutes avant le départ, nous étions déjà nombreux à nous saluer, nos chiens faisant de même, et à bavarder de choses et d’autres.La responsable du magasin arriva bientôt avec des sachets de gâteries canines qui firent les délices de nos quatre pattes.A 10h, l’équipe était au complet et nous démarrions, sous la houlette de monsieur « Plume ».
Le passage d’une chaussée puis d’une grand-route bien fréquentée nous amena dans un petit chemin où nos chiens furent libérés et purent découvrir les lieux.Côté météo, même si de sombres nuages traversaient le ciel, empêchant le soleil de se montrer, il faisait sec, c’était le principal.
Après un passage entre haie et mur, nous débouchâmes sur une petite rue menant au cimetière et aux champs.Les traces des orages passés étaient encore bien visibles sous forme de traînées de boue et de gravats.
Plus loin, au bout d’une ruelle, les champs firent leur apparition, nous cheminâmes donc, à la queue leu leu, dans un sentier particulièrement humide mais praticable. Tout à coup, de bruits sourds et réguliers se firent entendre… c’étaient les coups de canon tirés à Wavre, ville située à quelques km, et qui commémorait la bataille du même nom, vécue il y a 2 siècles, à l’époque de Napoléon. Si certains chiens ne remarquèrent rien, d’autres s’inquiétèrent et il fallut les remettre en laisse pour qu’ils ne fuient pas sous l’effet de la panique.
Un peu plus loin, nous nous arrêtâmes pour la photo de groupe. C’était l’occasion de faire le compte des chiens, ils n’étaient pas moins de 37 ! Quant aux maîtres, je n’en ai pas fait le compte mais ils étaient presque aussi nombreux.
A cet endroit, nous avions le choix de poursuivre, avec la perspective d’un trajet très boueux, glissant et prenant plus d’une heure, ou de revenir sur nos pas.
Nous optâmes pour la seconde solution et fîmes donc demi-tour.Un gros quart d’heure plus tard, Bernard, maître de Nala, remonta le groupe en appelant sa chienne et en demandant si quelqu’un l’avait vue… mais nous étions trop nombreux et dispersés, attentif chacun à son ou ses chiens, pour l’avoir repérée…
Ses appels restant vains, nous nous arrêtâmes pour faire un topo de la situation.
Selon moi, la chienne, n’ayant plus de repère direct avec son maître, avait remonté la piste odorante que nous avions laissée et était retournée d’une traite jusqu’à la voiture… mais comment en être sûr ?
Le maître resta donc en arrière tandis que nous continuions notre cheminement.
Bientôt, les chiens furent remis en laisse pour le retour en rue et la traversée des deux chaussées.Quelques minutes plus tard, nous arrivions sur le parking où Nala attendait, un peu inquiète, près de la voiture de son maître.
Pendant que la fugueuse était mise en laisse, un coup de fil rassura immédiatement Bernard sur la situation et l’heureuse fin de la mésaventure.
Ensuite, ce furent les retrouvailles entre les deux, et vous imaginez qu’elles furent pleines d’émotion.
Nos hôtes du jour avaient prévu une boisson pour les maîtres et de l’eau fraîche pour les chiens…
Puis nous visitâmes le magasin, certains en profitant même pour effectuer un achat ou l’autre.
Pendant que certains chiens étaient rincés, nous partîmes, les uns après les autres,
qui vers une autre activité qui vers sa maison… non sans qu’un « dernier carré » constitué de 5 maîtres et 9 chiens ne décide d’aller manger ensemble dans un restaurant proche, où une véranda fut mise exceptionnellement à notre disposition pour l’occasion.
par admin | Juil 12, 2016 | Promenades
Au mois d’avril dernier, notre balade mensuelle nous a conduits autour du lion de Waterloo.
Avec un temps était ensoleillé, nombreux étaient ceux qui avaient décidé de se lever tôt pour nous rejoindre et c’est donc un groupe bien étoffé qui démarra, entre les champs verdoyants.Nos chiens étaient à la fête et quelques tas de fumier bien odorants ajoutèrent à leur plaisir tandis que les maîtres discutaient ou profitaient de la vue et du grand air.
Après les champs, nous dûmes mettre nos toutous en laisse car nous devions longer la N5 durant une petite centaine de mètres au bout desquels nous entrâmes dans un chemin creux qui fit parler de lui sous Napoléon.
A peine étions nous engagé dans ce sentier qu’un joggeur nous croisa et se mit à nous invectiver, estimant probablement qu’il était propriétaire des lieux. Heureusement, Didier ne se laissa pas démonter et en quelques secondes, la tension baissa… nous permettant de reprendre notre progression dans la bonne humeur.
Le sentier déboucha sur une nouvelle étendue de champs, nous étions sur les lieux de la fameuse bataille… et pouvions imaginer ce qu’elle fut.
Plus loin, notre sentier déboucha sur une rue et nos chiens reprirent donc une marche plus calme, pas pour longtemps car nous nous engageâmes bientôt sous des cerisiers sauvages en pleine floraison… et nos toutous purent piquer un nouveau galop.Arrivés au creux du chemin, nous vîmes, au loin, des soldats de l’époque napoléonienne… excellente façon d’apprendre à nous chiens à rester calmement couchés tandis que le régiment défilait au son du tambour…
Nous apprîmes ainsi que, durant tous les dimanches jusqu’à la fin des grandes vacances, une telle reconstitution aurait lieu à cet endroit.
Nous laissâmes les soldats poursuivre leur marche, et reprîmes la nôtre dans les sous-bois avant de retrouver les champs et notre point de départ.
Tandis que bon nombre de participants repartaient chez eux, nous allâmes terminer la balade au restaurant… de quoi satisfaire notre appétit ouvert par le grand air.
par admin | Juil 8, 2016 | Promenades
Cette année, les congés scolaires englobant le vendredi après la fête de l’ascension, nous pouvions profiter d’un long congé de 4 jours pour nous rendre sur la côté d’Opale.
Et la météo nous semblait favorable puisqu’un grand beau temps était annoncé pour toute la fin de semaine !
Si certaines avaient décidé d’y aller depuis le mardi, la majorité des participants partit le mercredi pour rejoindre Coquelles où notre premier rendez-vous était prévu en début de soirée, à l’hôtel.Vu le nombre de participants, nous avions dû réserver non seulement au B&B comme d’habitude mais aussi au Formule 1 qui jouxtait l’hôtel… sur place, nous comprîmes rapidement ce qui se passait : de nombreux gendarmes logeaient dans tous les hôtels de la ville, venus en renfort pour gérer l’afflux de réfugiés désireux de passer en Angleterre…
Dès que toute l’équipe fut rassemblée, nous allâmes souper dans un des restaurants du centre Europe, supermarché plus que luxueux et tout proche de l’hôtel.
Repas terminé, nous allions repartir lorsque les maîtres de Nimrod arrivèrent, venant directement de Belgique… L’équipe s’étoffait !
Après une bonne nuit de sommeil, nous nous retrouvions vers 9h au restaurant du B&B, rejoints par Nadine et son Berger allemand.
Nous prîmes la route pour le cap blanc nez avec escale obligée près de l’obélisque
mais la côte anglaise se déroba à nos regards, enveloppée qu’elle était par une brume de chaleur augurant d’une belle journée.
Par contre, la vue était bien dégagée en direction de Wissant, notre point de ralliement de la mi-journée.Nous descendîmes sur la plage par le cran d’Escalles, nous devions nous dépêcher car la marée était montante
et nous devions impérativement dépasser le tiers de notre trajet pour ne pas être bloqués par l’eau qui nous arrivait déjà aux genoux à certains endroits.
La suite de la balade fut un plaisir tant pour les maîtres que pour les chiens
et bientôt nous foulions le sable de la plage de Wissant.
Pour midi, nous avions réservé au restaurant du Tie Break et, en attendant les plats, nous fîmes même une petite partie de mini golf !
Nous avions tout le temps de reprendre le trajet du retour puisque cette fois, la marée était descendante… et c’est donc tout à l’aise que nous reprîmes le chemin de la plage pour revenir à notre point de départ.Le soir, c’est à la crêperie bretonne, au centre ville, que nous clôturâmes ce 2e jour de plaisirs balnéaires.
Vendredi, nous avions prévu une matinée plage, mais, arrivées sur place, il nous manquait une voiture ! Rita n’avait pas pu démarrer la sienne, heureusement, ce n’était qu’un blocage momentané de la serrure et ce n’est qu’avec un peu de retard qu’elle pu nous rejoindre, accompagnée par Françoise et Mina.
Pour midi, nous nous décidâmes pour une brasserie bien sympathique et comme nous avions l’après-midi « libre » les unes repartirent côté mer tandis que les autres faisaient leurs emplettes dans les nombreux magasins de Calais et des environs.
Le soir, nous testions un restaurant chinois tout proche avant un repos bien mérité. Samedi, Nadine nous quittait de même que toute la famille de Nimrod, mais Michaël et Christine nous retrouvaient… avec leurs deux australiens.
Cette fois, nous comptions aller jusqu’au cap Gris Nez et remonter, par la plage, jusqu’à Wissant. Après avoir garé nos véhicules dans le nouveau parking aménagé, nous prîmes un sentier qui serpentait entre les maisons
La marée était bien basse et commençait à peine à remonter, nous avions donc bien le temps d’admirer les élevages de moules
de descendre jusqu’à la plage, puis de flâner le long du rivage ou de patauger dans les vagues, sous un soleil particulièrement actif et radieux.
Vers midi, nous arrivions à Wissant et prenions un dîner pas très gastronomique dans un petit établissement sans prétention avant de nous offrir une petite douceur glacée à la terrasse du Tie Break
tout en laissant nos chiens prendre un peu de repos.
Rien ne nous pressant, nous reprîmes tout à l’aise le chemin de la plage
où la marée avait commencé sa descente…
l’arrivée à la plage de Tardinghen
fut pour le moins chaotique en effet le seul accès possible nous obligeait à escalader de gros rochers,
dont certains rendus particulièrement glissants par le varech et l’eau.
Chacun dû trouver son chemin, s’aidant mutuellement, prenant appui sur les roches ou même demandant un coup de main à nos chiens… Nadine glissa malencontreusement, se tordant le genou… mais fut heureusement capable de terminer sa progression…
Bientôt, tout le groupe se retrouvait sur une zone plus praticable et rejoindre nos voitures eu tout d’une sinécure après cette aventure.
Michaël et Christine repartaient direction la maison, de notre côté, après un petit tour à l’hôtel pour nous rafraîchir, nous repartions pour le centre Europe où, cette fois, nous testâmes un restaurant italien particulièrement agréable et à la carte succulente.
Après une nuit paisible, le retour vers nos foyers s’annonçait, mais nous allions d’abord nous rendre au platier d’oie, une réserve naturelle située au nord de la ville de Calais.
Le parking, minuscule, accueilli heureusement toutes nos voitures et bientôt, nous entrions dans la réserve. Souci, les chiens devaient y être tenus en laisse… qu’à cela ne tienne, juste avant l’entrée, un sentier menait à la plage, hors réserve. Nous optâmes pour ce chemin et, peu après, nous découvrions une étendue sableuse où nous étions totalement seuls !
Le sable se mélangeait à pas mal de vase, mais qu’importe, les pieds dans l’eau et la tête au soleil, que demander de plus ?
Nos chiens en profitèrent bien évidemment à fond, galopant sur le sable dur, plongeant dans les vagues ou jouant à la balle…Vers midi, nous décidâmes de manger un petit quelque chose dans un établissement tout proche avant de reprendre l’autoroute direction la Belgique… Après un week-end de rêve.
par admin | Juin 13, 2016 | Promenades
En cette mi-février, c’est dans les champs, à Chastre, que nous avions rendez-vous.
La météo, plus que maussade, n’avait toutefois par rebuté les acharnés de la balade et c’est donc un groupe bien étoffé qui s’aventura d’abord dans la rue du hameau puis dans le chemin de remembrement menant aux champs.
Que dire du temps si ce n’est que nous eûmes de la pluie entre les averses mais que chiens et maîtres s’en accommodèrent bien, les premiers se lançant même sur la trace d’un lapin ou lièvre ? Et jouant à qui mieux mieux dans la boue et les flaques,
les seconds, bien au sec dans leurs bottes et vestes, bavardant le plus souvent au sujet des premiers !
Une partie du trajet se faisant en bordure de chaussée, ce fut l’occasion de faire un peu de suite en laisse avant de libérer à nouveau toute notre petite troupe.
Près d’un bosquet, un des chiens découvrit un trésor particulièrement appétissant : la patte, probablement d’un mouton voir d’une vache, assez fraîche et aux os encore bien recouverts de chair.
Quelques audacieux tentèrent de lui voler son bien, mais la demoiselle se montra intraitable et c’est finalement son maître qui lui fit abandonner sa découverte… qu’elle laissa bien à contre-coeur derrière elle.Après un dernier passage sur une rue heureusement peu fréquentée, nous retrouvâmes nos voitures et chacun repris le chemin de sa maison, avec, à bord, une ou plusieurs boules de poils particulièrement crottée et odorante… deux des maîtres passèrent d’ailleurs au dog wash dès la fin de la balade, question de rendre un peu de couleurs naturelles à leur toutou.