C’est sous la pluie et avec une température bien douce pour cette mi-décembre que notre petit groupe se retrouvait pour notre « descente » annuelle au marché de Noël de Bruxelles.
Nous ne passâmes évidemment pas inaperçus tant dans la salle des pas perdus que dans le wagon, très chaud et bien agréable, qui nous mena jusqu’à Bruxelles centrale.

Là, nous retrouvâmes nos autres participants, venus soit d’autres lignes, soit en voiture.Comme il nous manquait encore Sherwood, nous décidâmes de faire un exercice de couché en groupe, un peu en retrait de l’entrée… Pour la plus grande joie des promeneurs qui purent s’extasier autant sur l’obéissance de nos chiens que sur la diversité des races et des couleurs présentes.
Ensuite, tout l’équipe étant constitué, nous descendîmes vers la Grand’Place.
Chance, c’était le moment d’une animation sons et couleurs… que nous admirâmes tandis que nos chiens patientaient bien sagement à nos côtés.
Nous continuâmes ensuite vers la Bourse puis par des petites rues animées jusqu’au cœur du village de Noël avec ses dizaines de chalets proposant tout et n’importe quoi aux promeneurs.Le temps de faire une photo (pas top) à l’entrée et nous plongions dans la foule, direction la grande roue.
Au pied de celle-ci, la patinoire n’était pas installée… nous remontâmes donc le long de l’autre ligne de chalets… Nadine et Véronique en profitèrent pour s’offrir du boudin de noël mais Marc, lui, voulait goûter de la « poutine », une spécialité québécoise.
Nous nous dirigeâmes donc vers une petite place attenante, un peu « abandonnée » où plusieurs tentes proposaient des spécialités de nos cousins canadiens…
Marc pu donc s’acheter cette spécialité et y goûter… son avis est sans appel « ça ne casse pas la baraque, un bon paquet de frites avec de la mayo est tout aussi bon »..De rue piétonne en placette, nous remontâmes ensuite vers la gare.
Le temps de saluer ceux qui ne prenaient pas le train avec nous et nous apprenions que le nôtre allait démarrer.
Vite, vite, dévaler les escaliers… demander au contrôleur d’attendre quelques secondes le temps que tout le groupe soit monté et nous nous retrouvions bien au chaud pour un retour sans histoire.