Pour ce dimanche ensoleillé de fin juin, Marc et Véronique nous conviaient à découvrir les environs de Pecrot, non loin de Grez-Doiceau.
Est-ce le grand soleil annoncé, la fin des examens ou toute autre raison,je n’en sais rien mais toujours est-il que bientôt 22 chiens et leurs maîtres se retrouvaient au lieu de rendez-vous !
Nous démarrâmes pour traverser, un peu plus loin,
les voies du chemin de fer et déboucher immédiatement dans les taillis et la partie « fatigante » de la balade : la montée, dans le sable mais sous le couvert des arbres, jusqu’au plateau.
Le temps sec n’ayant pas été suffisant, de grandes mares de boue bien noire jonchaient notre trajet…
et bien sûr, nos chiens ne se privèrent pas d’y patauger avec délectation.
Tout à coup, une pétarade se fit entendre et deux motos arrivèrent à fond de train…en voyant les premiers chiens, ils freinèrent le temps que nous écartions nos chiens puis ils repartirent, le bruit de leurs engins s’éteignant peu à peu.
Nous arrivâmes le long de champs encore verts, notre progression se faisant parfois à la queue leu leu, le sentier ayant été « récupéré » et ensemencé par le cultivateur.
Un peu plus loin et comme la chaleur montait, nous décidâmes d’une halte pour désaltérer nos compagnons.
Nous entrâmes ensuite dans le village de Pecrot, passant une nouvelle fois la voie ferrée
pour arriver à l’étang du village, bien connu des amateurs de pêche du coin.
Véronique y avait garé sa voiture et nous avait préparé une petite halte fraîcheur de première qualité : verres et jus de fruits ou eau furent donc distribués aux promeneurs… un plaisir très apprécié et offert, de surcroît, à l’ombre !
Après ce rafraîchissement bienvenu nous passâmes le long de l’étang,
en admirant au passage un héron occupé à chasser puis entrâmes dans une zone protégée où vivent des castors dont nous ne vîmes hélas aucune trace.
Le chemin serpentait entre ruisseau et prairies. Nous admirâmes les vieux saules têtards ainsi que la végétation bien verte tandis que plusieurs groupes de vaches nous suivaient des yeux tout en ruminant.
Bientôt, nous arrivâmes à la station électrique située juste en face du parking où nous étions garés.Le temps de souffler un peu et nous arrivions à nos véhicules… et tandis que la majorité des participants reprenait le chemin du retour, nous étions tout de même une dizaine à accompagner Marc et Véronique jusqu’au restaurant prévu pour la clôture de cette sympathique journée.