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11 novembre – Promenade à la Panne

Bien que nous soyons quasi à la moitié du mois de novembre, ce dimanche promettait d’être beau.

Lors de notre départ, dans le petit matin sombre, de larges bandes de brouillard s’étendaient sur la route.  Nous étions deux, moi avec Bob et Abha, Joëlle avec Belle, pour ce démarrage.

Après avoir pêché, au passage, Sophie et ses deux chiens, nous retrouvions Liota et Laurence sur un parking à l’entrée de l’autoroute.

L’heure et demie de voyage se déroula sans problème, le brouillard ayant fait place à un radieux soleil.

Sur le lieu de notre rendez-vous, nous ne restâmes pas longtemps seuls… Petit à petit, les participants arrivèrent…

Pour transporter plus facilement Shû, Laurence avait commandé un chariot « high tech » à Sylviane… en un tour de main il fut monté et le petit pu s’y installer à l’aise.

Lorsque les dernières retardataires furent là, nous empruntâmes le sentier menant à la plage.

Cela fait de nombreuses années que nous allons à la mer mais c’était la première fois que la marée était totalement haute… qu’importe, la digue était tout à fait praticable

et, plus loin, une étendue de sable trop éloignée pour subir les assauts de la mer nous permit de donner un peu plus d’espace aux chiens, qui ne s’en privèrent évidemment pas.

Au fur et à mesure de notre progression la mer commença à se retirer et le chariot pu être mené sur un sable plus dur, épargnant ainsi pas mal d’énergie à ceux qui se relayaient pour le tirer.

De leur côté, les chiens s’en donnaient à cœur joie

et même Wubit fut lâchée pour un petit temps…

mais son instinct de chasse prenant le dessus, elle risquait de devenir dangereuse pour les petits chiens du groupe et Laurence la repris en laisse.

L’heure avançant, il fut bientôt temps de rebrousser chemin…

Vers la fin de la balade, nous eûmes une petite frayeur en effet une petite chienne qui nous accompagnait, avec ses maîtres, pour la première fois, se cru perdue… et commença à rebrousser chemin.

Heureusement son maître vit nos signaux et revint la chercher.

Arrivés aux voitures, nous donnâmes une nouvelle fois à boire aux chiens avant de nous changer, puis nous prîmes le chemin du manège où nous avions prévu de dîner.

Comme d’habitude, ce fut une délicieuse et agréable façon de terminer cette journée.

Ensuite, certains prirent la route du retour, d’autres décidèrent d’aller faire du lèche-vitrines à la Panne… et c’est à trois que nous fîmes un dernier petit tour près des étangs proches du restaurant avant de remonter en voiture.

Le retour ne fut guère compliqué et nous déposâmes Sophie non loin de chez elle avant de terminer notre périple « marin » sous un ciel clair et étoilé.

Calendrier d’agility 2013

Après le championnat le nouveau calendrier est annoncé.

Voici celui d’agility

Comme vous le verrez, 11 concours sont programmés.

Pour être sélectionné pour le championnat, il faut participer à au moins 6 concours dans au minimum 3 provinces parmi Anvers, le Hainaut, la Flandre occidentale et le Brabant.

Pour être sélectionné pour le superprestige, il faut participer à au moins sept concours.

Datum Type Organiseerde Club Provincie
Date Type Club Provence
10/03/2013 IF De Vl. Herdershond Brasschaat ANT
14/04/2013 IF MCMA Quaregnon HAI
21/04/2013 IF De Natte Neus Izegem W-VL
5/05/2013 IF HM Troef O-VL
9/05/2013 IF Beringen LIM
19/05/2013 IF DCSV BRA
30/06/2013 IF Buzet HAI
7/07/2013 IF Dogs Brussel BRA
15/08/2013 IF The Dogs Academy Torhout W-VL
18/08/2013 IF Snuffel ANT
1/09/2013 IF Oudegem O-VL
6/10/2013 IF Belgisch kampioenschap / Championat Belge
    te / à Torhout

14 octobre – promenade à Loupoigne

Qui a dit qu’il pleut en Belgique ?   Il y a des mauvaises langues partout !

Ce dimanche après-midi, après que chacun ait effectué son devoir électoral, nous nous retrouvions donc chez Joëlle, référente d’Activ’dog, pour une promenade concoctée par ses soins et au terme de laquelle, un goûter était prévu chez elle.

Une bonne vingtaine de minutes avant 14h, les premiers participants arrivaient…

mais ce n’est que lorsque Liota et Guillemine arrivèrent que nous démarrâmes.

Après un court trajet entre maisons, ruisseau et fermes, nous débouchions sur les champs et les chiens étaient libérés, pour leur évident plaisir.

Bientôt, de petits groupes se formaient parmi les promeneurs, en fonction des affinités ou encore de leur vitesse de déplacement

le junior de la bande, Shû, 2 ans et demi, fermant la marche à petits pas décidés.

Pendant que les chiens galopaient dans les labourés, nous recherchions le passage le moins glissant dans le sentier… heureusement, les bottes avaient été prévues par tout le monde.

Nous arrivâmes ensuite en bordure d’un bois où tout le monde se regroupa…

Le temps de quelques photos et nous démarrions à l’assaut d’une pente légère mais continue, couverte d’une herbe haute mais heureusement pas trop glissante.

Cette prairie abandonnée déboucha sur une route de remembrement où les chiens les moins obéissants furent mis en laisse par précaution…  Heureusement, nous ne rencontrâmes qu’un seul véhicule… nos chiens purent donc folâtrer à l’aise.

Les champs firent bientôt place à des prairies ou plusieurs groupes de chevaux étaient parqués.

Curieux, ils s’approchèrent afin de faire connaissance, de loin, avec nos chiens.

Plus loin, un autre groupe de chevaux galopait en tous sens, ce qui incita Abha à se joindre à eux… heureusement, elle revint bien vite au rappel et fut mise en laisse tant que nous longeâmes les pâtures.

Lorsque le sentier borda à nouveau les champs, toute la meute repris sa liberté…

jouant à cache-cache parmi les betteraves, se roulant sur la terre où le maïs avait été récolté ou pataugeant dans les nombreuses flaques nées des ornières laissées par un énorme tracteur.

Notre chemin rejoignit ensuite une route bétonnée, facilitant notre progression.

Autour de nous, à perte de vue, ce n’étaient que champs et prairies… un vrai bonheur pas bien loin de nos lieux de vie où la brique envahit petit à petit tous les espaces encore verts !

Un dernier petit trajet sur les gros pavés blancs et ronds, typiques du Brabant et nous retrouvions notre chemin de départ…

Il était temps de remettre les chiens en laisse pour le retour dans le village !

Le temps de remplacer nos bottes par des chaussures, de mettre une partie des chiens en voiture et nous entrions chez notre hôtesse du jour…

Comme nous étions nombreux, ce fut à la fortune du pot que chacun s’installa, les hommes allant chercher et nettoyant rapidement des chaises de jardin afin de mettre tout le monde à l’aise.

Chacun ayant apporté un gâteau ou une sucrerie, nous pûmes goûter à diverses spécialités plus ou moins locales tout en buvant une boisson fraîche ou chaude et en parlant de tout et de rien, du moment que les chiens en étaient le domaine…

Après cette troisième mi-temps bien agréable, les hôtes de Joëlle prirent congé les uns après les autres…en se donnant rendez-vous à la mer, au mois de novembre.

 

Un tout grand merci à Joëlle pour son accueil… et pour nous avoir fait découvrir un superbe petit coin de chez elle.

7 octobre championnat IF de Belgique d’agility

C’est en Wallonie, à Quaregnon plus précisément, que le championnat de Belgique IF d’agility se déroulait cette année.

Par chance cette année, ce dimanche était libre pour moi en effet depuis plusieurs années, le premier WE d’octobre voit se terminer la saison de flyball à Beerzel, mais cette année, la date choisie par le club était le dernier dimanche de septembre, chance donc… D’autant que j’étais en plus, demandée comme juge !

Dès le matin, c’était l’ambiance des grands jours : installation du matériel sur le terrain, préparation du secrétariat… la cantine était aussi au boulot…

Malgré une brume parfois épaisse durant le trajet, le ciel commença rapidement à se dégager, laissant place à un timide soleil qui nous changeait agréablement de la veille où la pluie nous avait abondamment rincés !

Le matin, nous commençâmes par le jumping, avec, championnat oblige, un parcours comportant quelques difficultés…mais assez « coulant » pour les chiens.

Pour cette compétition qui clôturait la saison sportive, deux chiens du CIEC étaient engagés : Patch, le chien de Lulu, en S2 (small car c’est un Jack, et division 2 puisque ce n’est plus un débutant) et Django, berger shetland de Gaby en M3 (Medium puisque le chien toise entre 40 et 50 cm, et division 3, celle des meilleurs).

Tous les deux étaient conduits par Gaby.

Patch au départ

Sur ce premier parcours, Patch se tira assez bien d’affaire… faisait un parcours correct et obéissant parfaitement à son guide…Il se plaça en 2e position, place très honorable.

Django, malgré un refus au tunnel rigide (étonnant, il n’avait jamais fait ce genre de fantaisie), se positionna lui aussi en 2e de son groupe.

Lulu prépare Patch pour son parcours de l’après-midi !

Fin de parcours pour Patch

L’après-midi, c’était le parcours « classique » où Patch, poursuivant sur sa lancée du matin, réalisa un bon score.

Django, lui, fit un refus exactement au même obstacle que le matin, mais pour le reste, il s’en tira fort bien, conservant, comme Patch, un score proche de celui de la première partie de la journée.

Le podium

Après que le secrétariat eu terminé l’impression des résultats, ce fut la remise des prix du super prestige tout d’abord et du concours du jour ensuite.

Le super prestige récompense la régularité des concurrents lors des différentes compétitions de la saison, il  est réservé aux chiens ayant fait une bonne partie des concours.

Les coupes du concours du jour

Et celles du super prestige

Nos deux membres y participaient et tandis que Patch gagnait la médaille d’argent en se positionnant en 2e place.

Notre petite équipe, très fière

Django, lui, était premier !  Un superbe couronnement de saison pour cette équipe qui arrête la compétition sur ce résultat magnifique.

En ce qui concerne le concours de championnat en lui-même,  nous avions deux deuxièmes !!!

Vous imaginez, je suppose, la fierté de Gaby et aussi de Lulu qui avait voulu être présente malgré sa santé pas bien bonne pour le moment.

Un petit mot au sujet de Gaby dont c’était le dernier concours avec Django… Quelle sortie en beauté pour ce couple qui a fait les beaux jours de plusieurs saisons et qui a montré qu’un petit club francophone peut rivaliser avec n’importe quelle autre structure plus importante…

Bravo Gaby !!

2 septembre – Promenade à l’eau d’Heure

Dans le courant de l’année, nous organisons parfois des promenades plus éloignées que d’habitude de notre base de Genval.

Ce premier dimanche de septembre, c’était le cas puisque nous avions projeté d’aller du côté des barrages de l’eau d’Heure.

C’est Claudine et son mari qui allaient nous servir de guides, puisqu’ils connaissent bien le coin.

A 10h du matin, nous arrivions donc au lieu de rendez-vous, après une petite erreur sur le parking, erreur vite rectifiée heureusement !

Geneviève et ses 4 australiens ainsi que Marc et sa petite famille, avec un autre australien !

La suite de la meute avec Oural, Fangio et Fidji, Candy, Zoé et Gipsy

Eros et Joy, ainsi que Bee, encore une australienne pour faire bonne mesure !

Et le reste de la bande : Laya, Coban, Dior, Louve et Chara… sans oublier Bob et Ghera, que vous verrez plus tard !

En quelques minutes, tout le groupe était constitué et nous démarrions par un sentier entre les champs qui permit aux chiens de piquer leur premier galop d’essai de la journée…

Le soleil, encore bien chaud, était de la partie et les premières couches de vêtements furent rapidement enlevées.

Mais qu’est-ce qu’ils cherchent dans ce fourré ?

Attention, une voiture approche, rappel et remise en laisse pour tout le monde !

Question à 1 € : qui fait le plus d’effort durant cette balade ???

Un peu plus loin, un fermier du coin nous avertit que les gardes étaient dans le bois proche, occupés à préparer une coupe, et qu’il valait mieux tenir nos chiens en laisse.

Aussitôt dit, aussitôt fait… et c’est avec des toutous quasi au garde à vous que nous pénétrâmes sous le couvert.

La jeep à peine dépassée, les chiens purent reprendre leur liberté pendant que nous progressions parmi les ronces et autres plantes qui couvraient le sol, mais en évitant soigneusement les zones boueuses…bien présentes.

La traversée d’une route… Tout le monde attend afin de passer en bloc.

Nous arrivâmes bientôt en vue d’un des lacs…

En nous approchant, un vaste espace dallé avec vue imprenable sur le plan d’eau,  nous accueillit…

suivi d’une partie en pente douce s’avançant dans l’eau du lac.

Très habitués à l’élément liquide, les quatre australiens de Geneviève piquèrent un sprint vers l’eau, suivis par le reste du groupe des chiens, parmi lesquels Oural qui lui, ne savait pas dans quelle pièce il jouait !

En quelques instants, une bonne partie de la meute se retrouva nageant… sauf Oural qui, surpris et ne sachant comme faire parce qu’il n’avait plus pattes, se mit à se débattre en tous sens…

Le voyant en difficulté, les maîtres l’appelèrent et, malgré sa panique, il les écouta et tenta de les rejoindre, touchant ainsi le fond bétonné avant de reprendre totalement pied près de nous…

Faut-il dire qu’ensuite, il évita soigneusement d’approcher le bord ?

Quant aux autres chiens, ils continuèrent leurs ébats, allant chercher avec ardeur le moindre bâton de qui voulait bien leur en lancer un…

Blue très fière d’elle

Kelly et Ice

L’eau, très chaude en cette fin d’été, ne fut pas seulement appréciée des chiens puisque Patricia y fit aussi quelques pas !

Benjamin, le fils de Marc, nageur émérite, enfila sa combinaison

et se mit lui aussi à l’eau, jouant avec les chiens

et essayant, tant bien que mal d’apprendre à Khépri, son chien, l’amour de l’eau…

Mais je pense qu’il n’a pas été assez convainquant !

Qu’à cela ne tienne, Fangio, qui avait commencé en douceur

Fut mis à contribution !

Et fit cela de fort bonne grâce.

Cindy essaya aussi d’initier ses shetlands à la natation… mais s’ils acceptèrent de se mouiller les pattes, ils ne voulurent guère faire plus !

ça commence par zéro patte…

Bon, d’accord, une mais pas plus… Joy, prends en de la graine, tu vois, je n’ai pas trop peur…

Allez, si tu insiste, je veux bien mettre les 4 pattes dans l’eau… mais c’est bien parce que je t’aime bien… Et Eros, il ne vient pas, lui ?

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire en promenade !!!

Selon leur intérêt pour l’eau, nous eûmes tous les cas de figure, depuis le chien qui resta sec envers et contre tout jusqu’à celui qui fut mouillé jusqu’au sommet du crâne !

Laya, qui s’est bien amusée, rejoint Bee qui elle a préféré ne pas s’aventurer dans l’eau…

Des 3 chiennes de Rita, seule Zoé s’est mouillée… avec Gherra

Tant qu’il a pied, Bob veut bien aussi profiter de la chaleur de l’eau

Dior, elle, n’apprécie vraiment pas l’eau…

Fidji préfère de loin se reposer, bien que, si sa maîtresse insiste, il ferait un petit effort

Quant à Coban, depuis ses premiers essais de nage à Bruges, elle est devenue passionnée de natation

en duo

ou en solo, mais toujours avec un petit quelque chose à rapporter !

Mais toute chose a une fin et bientôt, nous quittâmes le plan incliné…

Tiens, une affichette indiquait qu’il était interdit de nager à cet endroit… Trop tard !

Le temps de rassembler tout le groupe pour une photo

et nous reprîmes notre progression, en longeant le lac par une zone pavée bien plane tout d’abord…

Bizarre, ce sont toujours les mêmes que l’on retrouve en fin de peloton !

… zone qui laissa ensuite place à de l’herbe

puis à un espace boisé.

Un peu plus loin, nous sortions du petit bois et retrouvions notre parking de départ.

Mais nous n’en avions pas terminé en effet nous avions prévu de manger dans un restaurant le long du lac de retenue, et Jeanne et Lulu avaient prévu de nous y retrouver.

C’est donc en excellente compagnie que nous terminâmes cette promenade ardennaise…

Céroux – 25 juin

Avec un peu de retard, voici la suite de nos aventures canines !

Et tout d’abord, notre promenade du mois de juin

Pour cette balade prévue à Céroux, le temps était définitivement humide, je dirais même qu’il pleuvait entre les averses !

Déjà la nuit avait été copieusement arrosée et à notre arrivée sur place, c’était le même topo !

Heureusement, en bons belges, nous avions d’une part décidé de braver les éléments et, d’autre part, de nous équiper en conséquence !

Après le rassemblement sous les arbres de la place de Céroux, nous démarrions par une petite rue, direction les champs.

A peine quelques minutes plus tard, nous libérions nos chiens qui bien sûr, n’attendaient que cela pour piquer un petit sprint et surtout retrouver les copains.

Un chemin, bordé par des champs bien boueux, avec cette belle argile brune qui colle, s’agglomère et vous crée en quelques minutes des bottes qui pèsent une demi-tonne, nous mena vers une route encaissée et ma foi, un peu protégée par des arbres.

Nous arrivâmes ensuite sur un sentier carrossable longé par des étangs… quelques-uns des chiens, sans doute pas encore assez mouillés, voulurent y faire un petit plongeon, vite réprimé par les maîtres… Il ne faut tout de même pas pousser !

Plus loin, un chemin pavé, bordé d’un côté par une prairie et de l’autre part un bois, nous ramena vers le village de Céroux…

Le temps de donner à boire aux chiens et nous reprenions notre route qui, peu après, nous ramena à notre point de départ…

Une jolie brochette d’australiens…

Qui étaient en nombre cette fois

Après un rinçage aussi important, il était nécessaire de nous réchauffer et de nous sécher, ce que nous fîmes au restaurant italien de La Hulpe où nous avons table ouverte…et accueil à l’avenant.

12 août – promenade à Villers la Ville

C’est sous un ciel sans nuage et uniformément bleu que nous avons débuté notre balade du mois d’août.

Pour l’occasion, nous faisions la promenade dite de « Saint Bernard ».

Tous les participants étant bien arrivés malgré travaux et déviations, nous sommes directement entrés dans le sous-bois.

Et les chiens ont pu être libérés presque aussitôt, pour leur plus évident plaisir !

La promenade tient son nom du Ri Saint Bernard, petit ruisseau qui prend naissance le long du sentier… où l’eau est aussi présente, ravinant la terre pour ne laisser que les rochers.

Dans le temps, le côté gauche du chemin comptait de nombreux « arbres à clous » , arbres où les habitants des environs venaient planter un clou en faisant un voeu… Mais l’habitude a disparu et à présent, ces arbres cloutés ne sont plus visibles.

Après une légère montée, nous arrivons en bordure de champs…  Comme il fait chaud, nous en profitons pour faire un premier ravitaillement en eau pour les chiens qui le souhaitent.

Les pluies printanières ont fait leur oeuvre, amenant une belle quantité d’argile dans la partie basse du champ.  Les chiens, eux, en profitent pour organiser une petite course poursuite.

Gem préfère jouer son numéro de charme auprès de quiconque aura envie de la caresser !

Après cet arrêt « fraicheur » nous reprenons le sentier qui passe à travers quelque champs avant d’arriver aux « 4 chênes ».  C’est à ce moment que deux retardataires nous rejoignent… ouf, ils nous ont retrouvés !!

Nous profitons de ce lieu chargé  d’une histoire très ancienne pour abreuver une nouvelle fois tout notre petit monde.

Tout à coup, nous voyons arriver un promeneur accompagné de son chien, tenu en laisse.  C’est le moment ou jamais de faire un petit exercice de rappel et de mise en laisse, question que toute notre meute ne se lance par sur le brave visiteur qui arrive.

Et nous voici à faire une haie d’honneur pour le promeneur et son compagnon !

Comme il s’agit d’un jeune chien, il est plus curieux qu’autre chose et son maître a bien du mal à le contrôler !

Ensuite, nous reprenons notre marche, longeant des champs fraîchement récoltés.

Le temps est magnifique mais comme ce sont les vacances, peu de « touristes » sont à signaler et les quelques Vttistes qui nous dépassent sont bien sympathiques et prudents.

Une trouvée dans le bois fait apparaître une petite chapelle.

Du côté de nos chiens, la moindre flaque est prétexte à à boire un coup ou à jouer à qui éclaboussera l’autre.

Du côté maîtres, nous profitons pleinement de la fraîcheur du sous-bois.

Nouvelle découverte, la chapelle dédiée à Saint Apolline…

Nous arrivons ensuite au niveau du mur d’enceinte de l’Abbaye et un grand bâtiment marque la fin de la partie boisée de notre balade.

Quelques-uns des chiens ont soif, c’est donc le moment d’une halte gamelle, très appréciée, il faut le dire.

Le mur d’enceinte, très bien conservé et parfois envahit de lierre, nous accompagne et nous transmet un peu de sa fraîcheur.

Un peu plus loin, nous atteignons la fin de notre petit tour, le parking se profile, il est temps de remettre nos chiens en laisse.

Puisque nous sommes un peu en avance sur le timing, tandis que les uns décident de rentrer, je propose aux autres d’aller faire un petit tour jusqu’à l’entrée des ruines de l’Abbaye.

Nous prenons donc le chemin, très étroit mais surtout fort fréquenté, qui longe les ruines.

Passage sous les arches.

Avant d’arriver à l’ancien moulin de l’abbaye, transformé en taverne et restaurant.

L’endroit est sympathique, le prix des consommations raisonnables, et l’ombre bien présente…

Que demander de plus pour terminer, agréablement, cette promenade estivale ?

 

 

 

 

 

22 juillet, balade à Hèze

Peu de temps après notre virée Caenoise, nous étions à nouveau en route, mais bien plus près de notre base cette fois puisque Geneviève nous proposait une balade entre Hèze et Longueville, deux hameaux de l’entité de Grez-Doiceau.

Pour le rendez-vous de départ, pas moyen de se tromper, c’était à côté de la chapelle à l’entrée de Longueville.

Malgré les vacances, nombreux étaient ceux qui avaient répondu « présent » à cette invitation…

Après l’arrivée des derniers, nous démarrions par un chemin de remembrement, entre les champs.

Peu après, un promeneur assez pisse-vinaigre arrivant face à nous, Geneviève nous invite à rappeler nos chiens et à profiter d’un champ fraîchement récolté pour nous écarter et laisser passer cette personne…

Après cet intermède, nous reprenons notre balade…

Même si le temps est superbe, les pluies récentes ont laissé leur marque… les chiens en profitent pour se désaltérer.

Plus loin, le chemin passe non loin d’un petit bois… l’ombre en est bienvenue car nous n’avons guère eu l’occasion de nous habituer au soleil ces derniers temps !

Les chiens découvrent les mille et unes odeurs du sous-bois !

Les chiens en profitent pour boire un petit coup, c’est si bon, l’eau boueuse !

Nous entrons ensuite dans une autre partie boisée…

avant d’aboutir à une route tellement étroite qu’on pourrait se demander quels véhicules l’empruntent…

C’est le moment d’attendre les retardataires…

Après cet intermède ombragé, nous reprenons notre progression sur le plateau, en plein soleil…

Pulls et vestes sont tombés depuis longtemps.

Soudain, au loin, apparaissent deux chevaux… Dès qu’ils voient nos chiens, ils s’inquiètent, veulent reculer… Nous nous mettons donc tous sur le bord du chemin ou sur le talus afin de les laisser passer sans encombre…

Les cavalières apprécient le geste… les chevaux aussi, d’ailleurs !

Siska profite d’un champ de froment pour jouer à cache-cache avec sa maîtresse

Mais et betteraves alternent… Il est évident qu’ici le sol est particulièrement riche.

Gem a un peu chaud et se fatigue !

Un peu plus loin, nous arrivons aux premières maisons du hameau de Hèze.  L’endroit est parfait pour se rassembler et surtout donner à boire à nos chiens après cette première heure de promenade.

Les récipients remis dans les sacs, nous traversons quelques maisons du village

et entrons à nouveau dans une partie boisée…

Si à certains endroits, le chemin est très praticable, à d’autres il se réduit à un sentier dans lequel nous devons progresser en file indienne, entre les ronces et les orties…

Mais ce passage est heureusement assez court et nous débouchons rapidement sur un espace plus ouvert.

Tout notre petit monde est rassemblé, il est temps de reprendre notre marche

Nous voici à nouveaux entre les champs avec, devant nous, la chapelle, peu visible entre les arbres…  Il est temps de remettre les chiens en laisse.

Les premiers promeneurs arrivent à la route

La balade se termine… Un timing parfait !

Merci à Geneviève, qui nous a une nouvelle fois concocté une promenade agréable et pleine de surprises…

16 juillet – Traversée de la baie du Mont Saint Michel

Parmi les traditions, le week-end en Normandie s’est bien installé et, cette année, nous étions 10 à y participer !

Nous avions décidé de partir à notre aise, le samedi matin, afin de ralier Caen en milieu d’après-midi.

Le trajet ne fut pas exceptionnel, avec son lot de bouchons aux péages, de pluie parfois drue et de file aux toilettes des aires de parking… Incontestablement, nous démarrions un week-end exceptionnel !!

Seul moment « fort », le passage du pont de Tancarville, conseillé vu l’encombrement de celui de Normandie en ce samedi de fête.

Arrivés à l’hôtel, nous nous installâmes et retrouvâmes Sylviane et Jean-Luc, arrivés la veille.

Ensuite, il fallait amener la remorque jusqu’au parking du Décathlon, lieu où aurait lieu notre compétition de flyball, dès le lendemain.  Vous pouvez lire le récit de celle-ci sur le blog du flyball http://flyballbelge.wordpress.com/

Le lundi, de grand matin, nous démarrions de Caen vers Genêts, la plage d’où nous allions démarrer pour traverser la baie vers le Mont Saint Michel.

Nous avions opté pour du covoiturage… Les chiens dans ma voiture, les maîtres dans celle de Jean-Luc…

Première étape, le rassemblement en attendant que notre guide nous rejoigne.

Michèle profite de l’attente pour tester le sac à dos spécial de Sylviane…

Gem apprécie moyennement… Elle préfère le plancher des vaches !

Notre groupe est au complet, la guide nous a rejoint (elle nous avoue tout de go ne pas aimer les chiens !!! Elle est servie, nous en avons plus de vingt…).

Nous prenons le sentier qui mène à la plage et bientôt, devant nous…

C’est le moment d’enlever ses souliers et de démarrer notre trajet aller, il durera 2 heures et demie.

La veste est de rigueur car le vent rafraîchit la température… Heureusement, nous avons un jour de grand soleil !


Nous ne sommes pas seuls à démarrer, aussi, tant que les groupes sont proches, nous tenons nos chiens en laisse… Pas question de gêner l’un ou l’autre.

Bientôt, notre guide donne le signal, les chiens peuvent être libérés…

Un petit galop d’essai, question de se défouler…

Mais c’est un premier plongeon dans un bras de ruisseau qui ravit les chiens… s’ensuivent des jeux qui éclaboussent autant les chiens que les maîtres passant à proximité.

Notre progression vers le Mont se passe au travers de différents sols : du sable plus ou moins humide en fonction du fait qu’il a ou non été mouillé par la marée haute qui a eu lieu cette nuit

De la boue grasse, mélange d’argile, de sable et de coquillages concassés

Dans ce cas, il faut marcher prudemment en effet cela s’enfonce et cela glisse aussi…

Et puis, il y a les bras de la rivière, le Couesnon, qui varient à chaque marée et qu’il faut traverser avec prudence en effet comme un nouveau barrage a été construit il y a peu, un nouveau système de retenue se présente : lorsque la marée monte, l’eau entre dans le ruisseau et y est bloquée par des vannes.

Lorsque la marée est basse, les eaux sont libérées et se dirigent avec force vers la mer… entraînant le sable et les sédiments sur leur passage.

dans le lit des différents bras du Couenon, le courant est plus ou moins fort et l’eau peut atteindre une hauteur si pas énorme, suffisante cependant pour monter jusqu’en haut des cuisses.

Ici, aucun problème, l’eau ne mouille que les mollets et les pattes des chiens…

Cette fois, le sol est marqué d’une multitude de stries laissées par la mer… un sol désagréable aux pieds… Nous passons à hauteur du rocher de Tombelaine, une réserve ornithologique.

Nous profitons du sol sec pour nous rassembler et faire l’indispensable photo de groupe avant de continuer notre chemin.

Mais cette fois, nous passons aux choses sérieuses… Le bras d’eau que nous abordons est nettement plus profond et dangereux que les précédents…

Notre guide prend les devants…

A gauche de la base du Mont, notre guide, en veste orange… Elle teste le sable du fond et la hauteur de l’eau avant de nous autoriser à passer…

Sur le signal de la guide, nous démarrons, en ligne pour que les derniers ne s’enfoncent pas dans les sables mouvants

Les chiens n’ont plus pied, ils nagent près de leur maître, tenus en laisse pour éviter qu’ils ne soient emportés par le courant, très fort à cet endroit, et contre lequel il faut lutter à chaque pas.

Les premiers engagés reprennent pied tandis que derrière eux, les chiens doivent encore nager quelques mètres avant de toucher le fond.  Le passage le plus délicat est à présent derrière nous !

Plus loin, la guide nous explique le principe des sables mouvants, Jacky traduit.

Le mont paraît très éloigné, pourtant, il est à peine à 10 minutes de marche…Nous arrivons au Mont, il est temps de remettre les chiens en laisse…  La halte sera bienvenue pour se désaltérer, manger un petit quelque chose et reposer nos pieds fatigués.

Ensuite, une petite incursion dans les ruelles, les escaliers et les terrasses du Mont…

Vues sur les prés salés

Et sur les gigantesques travaux de construction du pont qui reliera le Mont à la terre, permettant aux rivières de dégager peu à peu la vase qui relie l’île au continent.  Le but, à terme, est de refaire du Mont une véritable île.

Mais l’heure du départ a sonné, nous retrouvons notre guide au point de ralliement et nous reprenons le chemin du retour.

Nous savons que nous allons d’abord devoir passer le plus large et profond bras de rivière, les chiens sont donc remis en laisse

Le début du passage est relativement facile

mais bientôt, l’eau devient profonde

Les chiens ont enregistré la situation à l’aller, ils nagent donc plus facilement et certains précèdent leur maître, comme Laya… quant à Funny, elle surveille tout de haut !

Fidji et Fangio ont encore pied, il n’en est pas de même pour Canelle

Les deux chiennes d’Hervé n’hésitent pas une seconde

Profondeur maximale pour les chiens… l’eau nous monte jusqu’en haut des cuisses

Bali et Funny qui a changé de bras !

Notre guide joue parfaitement son rôle

Bob reprend déjà pied

Siska et Soledad, pas dérangées par l’exercice

Retour sur le sable, avec un arrêt pour laisser souffler tout le monde

A présent, les difficultés importantes sont derrière nous.

Ella se fait peur… au passage d’un tout petit bras d’eau, à peine profond de 20 cm, elle hésite, recule, n’ose pas suivre le groupe, galope d’un côté à l’autre… Finalement, elle sautera dans l’eau pour rejoindre sa maîtresse… Une si grande chienne qui se fait son cinéma… Nous en avons bien rit !

La fin de notre traversée se profile, Soledad a trouvé un bâton… Gem aimerait beaucoup le lui prendre… Les deux chiennes galopent autour de nous, on ne dirait pas qu’elles ont, comme nous, quasi cinq heures de marche !

Sommes-nous dans la baie du Mont Saint Michel ou au Sahara ?

Les chiens remis en laisse

et abreuvés.

Nous voici de retour à notre point de départ

Les chiens reçoivent de nouveau à boire, puis les maîtres se lavent les pieds pour enlever un maximum de la boue collante qui y adhère.

Après cette longue marche, il est indispensable de faire quelques mouvements d’élongation pour remettre nos muscles en place.

Après l’effort, le réconfort, autour d’un petit verre bien mérité !

Côté chien, l’objectif est : oubliez-nous !

Mais Michèle est restée sur sa faim… Elle voudrait voir la mer !!!

Nous décidons donc de faire quelques km de plus pour rejoindre un village d’où nous aurons une vue qui lui convienne…

Cette fois, elle est satisfaite !

Nous en profitons pour faire une photo de groupe…

 Et une autres avec les chiens seuls

Puis, comme Michèle voulait non seulement voir la mer mais aussi boire un café bien serré, c’est dans une petite guinguette qui ne payait pas de mine que nous avons terminé la promenade, avant de reprendre la route vers Caen.

Le lendemain matin, sans nous presser, nous reprenions le chemin de retour…

Pour le retour, jour de semaine, nous avons pris le pont de Normandie, sans aucune file cette fois…

Après une route sans histoire, nous arrivions à Genval les yeux encore pleins de toutes nos découvertes du week-end.

Fin mai à Calais

Le long week-end de la Pentecôte, du 26 au 28 mai, nous avions programmé notre « descente » annuelle à Calais !

Samedi en début d’après-midi, dès la fin des cours, nous partions donc pour cette virée calaisienne attendue par tous.  Après une route sans histoire, nous arrivions sur place et passions la fin de journée à la plage… pour une première « mise en bouche ».

Dimanche matin, cela devenait plus sérieux avec la visite du sommet du cap Blanc nez tout d’abord, dans l’espoir de voir les côtes anglaises…

La montée vers le point de vue

Rita et Angie avec, en toile de fond, la côte et les falaises.

Les centres d’intérêt des participants sont assez divers !

Lulu et Patch…

Vue imprenable sur le village d’Escale

et sur la côte jusqu’au cap Gris Nez

Après avoir admiré le paysage, nous reprenons les voitures jusqu’au cran d’Escale.  La marée est basse, nous allons pouvoir nous balader sur la plage…

La descente vers le cran

Et l’arrivée sur la plage !

Les premiers chiens sont libérés… Nous optons pour la zone de plage la moins fréquentée…

C’est le bonheur pour les chiens, évidemment !!! Mais nous ne sommes pas en reste et profitons largement du soleil et de la brise de mer.

Les petits poissons et les crabes piégés dans les trous d’eau sont très attractifs !

mais affronter les vagues a aussi ses adeptes !

Et il y a même celle qui ne veut pas trop se salir ni se mouiller les pattes…

Un petit galop plein de légèreté pour Gem…

Et une course poursuite entre Khépri et Bob.

Parfois, les chiens font des rencontres…

Mais même les bonnes choses ont une fin et midi largement dépassé, après un dernier galop, c’est le moment de revenir au parking

Dure, dure, la montée !

Pour le repas de midi, nous n’avons pas hésité un instant, c’est au Tie Break que nous avons, comme d’habitude depuis plusieurs années, repris des forces…

Ensuite, nous avons fait le tour de la très jolie réserve naturelle de Wissant, dénommée…

Composée d’une importante étendue d’eau entourée de bois et de taillis, c’est un merveilleux refuge pour la faune et la flore, une année nous avons même pu y photographier des orchidées !

Pour décourager tout type de véhicules, des chicanes ont été installées… mais avec un porte-bébé, passer devient presque mission impossible !!

Le sentier est bien aménagé, et sous le soleil, c’est un vrai bonheur que de découvrir ce petit coin préservé

Plusieurs caches ont été aménagées afin de pouvoir voir les animaux sans être vu et surtout sans les déranger…

Escaliers au menu, cette fois !

pour découvrir, sur la colline, quelques vaches des Highlands… qui officient comment tondeuses.

Après un dernier regard sur la falaise où nichent des hirondelles de rivage, nous quittons la réserve pour rejoindre notre hôtel.

Le lendemain, nous décidons d’aller au cap gris nez, cette fois !

La marée descend et ici, outre le sable, nous avons aussi de nombreux rochers qui affleurent.

Le ciel est bas, la température fraîche et la brume s’effiloche le long de la falaise.

La mission du jour est de rechercher des galets petits et plats qui serviront à la réalisation d’une mosaïque.

En toile de fond, quelques pêcheurs qui mettent leur flobart à l’eau.

Avec 4 pattes motrices, les chiens glissent évidemment moins que nous sur les algues mouillées !

Entre les rochers, l’eau est parfois profonde… ce qu’Angie apprécie visiblement !

Voilà Bob dans un mauvais pas… Sauter où plonger, là est la question !!!

Mais soudain, alors que nous admirons le ballet des chiens… Bernadette, une des participantes, recule, glisse sur les algues, perd l’équilibre… et se retrouve dans un trou d’eau… Trempée jusqu’aux os, le bras et le dos douloureux, elle préfère aller se changer dans un établissement proche pendant que nous continuons notre balade le long de la mer.

Dans l’eau, les bouchots qui portent les petites moules typiques de la région

Petit à petit, le soleil perce la couverture nuageuse… et nous réchauffe… Vestes et pulls sont tombés !

L’évaporation est intense, provoquant une brume épaisse qui cache la limite entre le ciel et l’eau.

Après ces quelques heures de délassement, il est temps de prendre un dernier repas ensemble, avant de monter dans nos véhicules pour le retour en Belgique… En se disant que ce fut un super week-end et que l’an prochain, nous serons au rendez-vous !!