par admin | Oct 10, 2015 | Promenades
Il n’y a pas que le soleil qui soit au rendez-vous ce beau dimanche septembre, il est 10h et nous arrivons les uns après les autres près de l’église de Tangissart,
où Didier et Claudine nous attendent pour nous faire découvrir un joli coin de Brabant Wallon.Nous débutons notre randonnée en longeant un ruisseau
qui fait évidemment le bonheur de nos compagnons à 4 pattes. De notre côté, nous pataugeons dans la gadoue car pendant toute la semaine qui précédait ce jour J, la pluie s’en est donnée à cœur joie. Nous sommes bien contents d’avoir enfilé nos bottes en caoutchouc. Au fur et à mesure de la promenade, le soleil s’invite et fait tomber les vestes.
Les sous-bois sont agréables, les champignons pointent le bout du nez et le terrain pas trop accidenté…Comme notre équipe de randonneurs est en forme et pas vraiment pressée de retourner chez elle à son train-train quotidien, notre guide Didier propose,
si tout le monde est d’accord, de prolonger la flânerie. L’ensemble du groupe est partant pour avaler quelques km supplémentaires !Aussitôt dit, aussitôt fait, nous poursuivons notre chemin dans les bois non sans nous accorder une petite pause et donner à boire à nos compagnons.
Certains commencent à avoir des gazouillis dans le ventre, il est temps de repartir dans la bonne humeur, direction un petit resto sympa pour ceux qui le souhaitent. Et pour terminer dignement cette balade automnale, c’est à l’extérieur, au soleil, que nous avons dévoré un petit en-cas bien mérité.
par admin | Août 18, 2015 | Promenades
10h ce dimanche ensoleillé : tout le groupe se retrouve au lieu de rendez-vous pour la balade mais Marie Paule ne viendra malheureusement pas avec nous, vu l’état de son genou (entorse). C’est donc moi, Sylviane, qui vais vous faire le récit de notre aventure dominicale.
Cette fois, nous allons découvrir une facette insoupçonnée d’Uccle, une des communes bruxelloises !
Nous débutons la promenade en longeant la propriété de la chanteuse belge Axelle Red. Une vieille ferme totalement rénovée, avec, dans la vaste prairie, des moutons et des poneys, et dans le bas de la propriété, un ruisseau. Bali, connaissant ce lieu de baignade, a vite fait d’embarquer les copains avec elle et en 1 minute, 5 chiens plongent dans l’eau, passent dans le tunnel en dessous du chemin et se retrouvent dans la propriété privée d’Axelle Red.
Nous, humains, n’y avons pas accès ! Impossible donc d’aller les rechercher!!!
Seul moyen pour les récupérer : leur faire comprendre qu’il faut reprendre le même chemin par le ruisseau et le dessous du pont !
Après quelques minutes, c’est chose faite et nous pouvons continuer la promenade.Nous traversons des champs dans lesquels les chiens s’amusent à faire des courses poursuites parmi les chaumes.
Pour quelques instants, nos compagnons sont remis en laisse car nous empruntons un petit chemin pour traverser ensuite une petite route avec peu de circulation,
puis nous retrouvons à nouveau dans les champs.
Comme le groupe s’est dispersé, nous décidons de faire une petite pause pour attendre les retardataires, c’est à ce moment là que les maitres de Baloo (petit chien blanc style Bichon) se rendent compte que leur chien n’est plus là !!!
Ils décident de rebrousser chemin accompagnés de Jean Luc qui connait bien le coin, en l’appelant régulièrement.
Au bout de 2 minutes, OUF, la petite boule blanche réapparait en courant, toute contente de retrouver ses maitres !
Comme le soleil tape dur en cette mi-août,, il est temps de donner à boire aux chiens
et de laisser passer quelques cyclistes puis nous reprenons notre marche.
Les champs à perte de vue sont un très bon terrain de jeux pour les chiens.
Un peu plus loin, Sherwood décide de se mesurer à Iko, un berger hollandais bien costaud.
Très mauvaise idée car, en 1 seconde, il se retrouve proprement plaqué au sol par ce dernier!
C’est à ce moment que l’on se rappelle les bons conseils de Marie Paule : attraper la queue des chiens pour pouvoir les séparer sans prendre de risques! Vite fait, bien fait et chacun reprend sa route…. Plus de bruit que de mal.
Nous quittons les blé pour traverser les champs de maïs à la sortie desquels une grosse flaque de boue a attiré plus d’un chien qui s’y est vautré avec délectation !
Ensuite, un peu de fraicheur dans les sous bois puisque nous entrons dans le Parc de Schaveys.
Ici, tout le monde est prévenu : il est prudent de tenir les chiens en laisse pour éviter que ceux ci n’aillent plonger dans une étendue d’eau puante et pleine de vase.
Visiblement, d’autres promeneurs se sont faits avoir car des effluves malodorantes arrivent jusqu’à nos narines suite au passage d’autres chiens !
Encore une petite pause boisson avant de rentrer dans la Vallée des Artistes.
Une dernière traversée de sous bois
nous conduit directement à notre parking, où une photo de groupe s’impose
avant de se séparer, les uns pour leur domicile, les autres pour un petit restau.
par admin | Août 15, 2015 | Nos chiens, Promenades
La foire du midi est une véritable institution bruxelloise et nous avons pris l’habitude de nous y rendre avec nos chiens, pour une balade vespérale tant éducative que gastronomique.
Cette fois, c’est un mercredi soir que nous avions prévu la balade.
Dès 18h40, nous nous retrouvions donc à 10 maîtres et 9 chiens sur le quai de la gare de Genval pour cette virée dans la capitale.Outre les chiens du club nous avions une participante extérieure, la boxer du frère d’Adrienne.
En attendant le train, nos toutous eurent tout loisir de faire connaissance ou de retrouver les copains tandis que les maîtres bavardaient.
Bientôt le train arriva et, chance pour nous, il était climatisé, ce qui nous permit d’être à l’aise jusqu’à Bruxelles, du moins au niveau température parce que question place, c’était une autre histoire !
C’était le retour pour beaucoup de familles parties à Walibi… et donc pas question de pouvoir s’asseoir… Manju s’offrit une place en 1e classe, nous nous restâmes sur la plate-forme ou sur les quelques sièges disponibles… Et bien sûr, nos chiens firent leur habituel numéro de charme auprès des passagers !
Bientôt, nous entrâmes en gare au midi. Le temps d’attirer l’attention par le nombre de nos compagnons et leur calme et nous débouchions sur la place devant la gare.
Quelques minutes pour « tirer le portrait » de chaque chien, assis bien sagement sur un plot de pierre bleue
et nous arrivions à l’entrée de la foire.
Il y avait bien sûr du monde, mais pas autant que d’habitude… ce qui n’était pas pour nous déplaire.Nous flânâmes d’attraction en terrasse, provoquant des sentiments et réactions mitigées parmi les badauds… mais jamais de l’indifférence.
Comme pour nos chiens, foire = frites + pop corn + déchets mangeables en tous genres… Ils étaient à la fête, truffe au sol et totalement indifférents aux bruits ambiants.
Véronique et Marc n’ayant pas eu le temps de manger avant de nous rejoindre,
ils s’offrirent une pita sous l’œil intéressé de Khépri qui ne voulait pas en rater une miette.
Plus loin, un étal de « caricoles » fit le bonheur de quelques unes tandis que les autres préféraient les beignets aux pommes ou à la banane.
Nous profitâmes de cette halte pour donner à boire à nos compagnons avant de revenir sur nos pas.Nous continuâmes dans la seconde partie des attractions
tandis que la lumière baissait doucement… Puis vint le moment de penser au retour.
Nadine nous perdit durant quelques minutes mais tout rentra vite dans l’ordre et c’est donc un groupe enchanté de l’aventure qui entra dans le hall de la gare.
Le temps de rejoindre le quai et notre train arrivait (vous vous rendez compte de la synchronisation ?).
Cette fois, il était tout à nous et nous pûmes nous installer bien à l’aise, assis sur des fauteuils bien confortables, pour rejoindre notre point de départ que nous atteignîmes à la nuit noire.
par admin | Juil 21, 2015 | Promenades
Le dimanche prévu pour notre promenade risquant d’être chaud, une balade ombragée s’imposait, c’est pourquoi les bois autour de Villers-la-Ville constituaient une bonne solution pour laquelle nous optâmes avec joie.
A 10h, sous une chaleur déjà bien installée, notre petit groupe (vacances obligeant), se retrouvait sur le parking.
Nous nous enfonçâmes directement dans un sentier un peu encaissé où les chiens purent faire connaissance et batifoler à l’aise.
A cette heure encore matinale, nous ne rencontrâmes que deux ou trois joggeurs…
La composition du sol est très variable dans la région et souvent, le sable affleure en poches, donnant naissance à des végétations variées se côtoyant parfois sur quelques dizaines de mètres.C’est ainsi que nous restâmes durant un petit temps entre des chênes et autres feuillus poussant dans un sol gras et noir.Tout à coup, mon gsm se mit à sonner… Joëlle, arrivée quelques instants trop tard au rendez-vous, tentait de nous rejoindre !
Il ne me fallut que quelques minutes pour lui expliquer le trajet et nous décidâmes d’une courte halte, le temps qu’elle nous retrouve.
Nous continuâmes ensuite notre progression
et arrivâmes à une descente assez abrupte, qui nous fit passer entre des pins bien enracinés dans le sable avant d’aboutir dans le fond d’un vallon, le sentier se divisait en deux et comme j’avais un vague souvenir d’un trajet, nous prîmes entre des jardins pour déboucher sur un ruisseau.
Moment idéal pour permettre à nos compagnons non seulement de se désaltérer mais aussi de jouer et de se rafraîchir…
Toomaï, à l’esprit toujours un peu « anarchique », décida de passer sous un petit pont et de suivre le ruisseau… Nadine s’époumona durant plusieurs minutes à appeler la chienne avant que celle-ci ne daigne enfin nous retrouver !
Nous traversâmes un petit hameau, rencontrant quelques rares voitures avant d’entrer à nouveau dans une pinède parcourue par le ruisseau que nous avions quitté peu avant.
Bien sûr, vous imaginez sans peine que nos compagnons préférèrent s’éclabousser copieusement plutôt que de trottiner sur les aiguilles de pin de la rive !
Nous arrivâmes ensuite à un tourniquet débouchant sur une pairie heureusement non occupée par le bétail.
Une seconde porte du même genre nous amena dans un pré
où nous pûmes découvrir la façon dont une zone herbeuse est peu à peu envahie par la forêt. Evidemment, ronces et fougères étaient de la partie et nous dûmes nous frayer un chemin parfois assez piquant avant de déboucher dans un bois de sapin.
Assez étonnamment, une propriété se logeait dans ce coin encaissé et un peu perdu… Nous la longions lorsque des hurlements de poules et humains se firent entendre… 4 de nos chiens, donc un husky, avaient débusqué une poule et voulaient la goûter… ou au moins lui donner une crise cardiaque… Quant à la propriétaire de ladite poule, inquiète pour elle, hurlait pour que nous récupérions les tueurs de poule en puissance !
La maîtresse des chiens alla récupérer sa meute tandis que nous poursuivions notre trajet de quelques pas pour que le reste de nos compagnons n’aillent pas prêter patte-forte aux chasseurs.
Bientôt tout rentra dans l’ordre, les chiens récupérés, la poule sauvée et la maîtresse, mécontente qu’on ait ainsi foulé impunément le sol de sa propriété…
Nos pas nous menèrent ensuite dans une zone envahie par de hautes fougères… le sentier se faisait à peine visible mais heureusement, restait repérable…Le ruisseau nous fit ses adieux tandis que nous abordions une zone à la végétation moins épaisse, où les arbres reprenaient leur droit. La montée fut rude avant d’arriver sur une partie plus plane… Plusieurs de nos chiens foncèrent soudain vers un sentier ouvrant sur une pinède… et nous vîmes avec surprise une petite fille, se tenant bien droite, les mains en l’air… entourée par nos compagnons avides de goûter à sa tartine qu’elle tenait heureusement en lieu sûr ! Nous récupérâmes nos chiens et saluâmes la famille installée pour pique-niquer au frais et qui, heureusement, savait comment s’y prendre avec des chiens…
Le sentier, à nouveau constitué en bonne partie de sable, passait dans une zone moins arborée… le soleil se fit plus insistant mais bientôt, nous retrouvions le couvert et la fraîcheur des arbres.Nous en profitâmes pour faire un arrêt gamelles
et repos…
Un groupe de quelques adultes et plusieurs enfants arrivant en sens inverse, nous reprîmes nos chiens en laisse, le temps de les croiser… mais nous ne libérâmes pas nos toutous car nous arrivions à la fin de la balade, perceptibles aux voitures passant sur la route en contrebas.
Quelques mètres en descente parmi rochers et racines et nous nous retrouvions à notre point de départ.
C’est finalement en tout petit groupe que nous terminâmes cette matinée dans un restaurant où l’accueil est plus qu’agréable et où nos chiens attirèrent l’attention par leur calme.
par admin | Juil 6, 2015 | Promenades
Pour ce dimanche ensoleillé de fin juin, Marc et Véronique nous conviaient à découvrir les environs de Pecrot, non loin de Grez-Doiceau.
Est-ce le grand soleil annoncé, la fin des examens ou toute autre raison,je n’en sais rien mais toujours est-il que bientôt 22 chiens et leurs maîtres se retrouvaient au lieu de rendez-vous !
Nous démarrâmes pour traverser, un peu plus loin,
les voies du chemin de fer et déboucher immédiatement dans les taillis et la partie « fatigante » de la balade : la montée, dans le sable mais sous le couvert des arbres, jusqu’au plateau.
Le temps sec n’ayant pas été suffisant, de grandes mares de boue bien noire jonchaient notre trajet…
et bien sûr, nos chiens ne se privèrent pas d’y patauger avec délectation.
Tout à coup, une pétarade se fit entendre et deux motos arrivèrent à fond de train…en voyant les premiers chiens, ils freinèrent le temps que nous écartions nos chiens puis ils repartirent, le bruit de leurs engins s’éteignant peu à peu.
Nous arrivâmes le long de champs encore verts, notre progression se faisant parfois à la queue leu leu, le sentier ayant été « récupéré » et ensemencé par le cultivateur.
Un peu plus loin et comme la chaleur montait, nous décidâmes d’une halte pour désaltérer nos compagnons.
Nous entrâmes ensuite dans le village de Pecrot, passant une nouvelle fois la voie ferrée
pour arriver à l’étang du village, bien connu des amateurs de pêche du coin.
Véronique y avait garé sa voiture et nous avait préparé une petite halte fraîcheur de première qualité : verres et jus de fruits ou eau furent donc distribués aux promeneurs… un plaisir très apprécié et offert, de surcroît, à l’ombre !
Après ce rafraîchissement bienvenu nous passâmes le long de l’étang,
en admirant au passage un héron occupé à chasser puis entrâmes dans une zone protégée où vivent des castors dont nous ne vîmes hélas aucune trace.
Le chemin serpentait entre ruisseau et prairies. Nous admirâmes les vieux saules têtards ainsi que la végétation bien verte tandis que plusieurs groupes de vaches nous suivaient des yeux tout en ruminant.
Bientôt, nous arrivâmes à la station électrique située juste en face du parking où nous étions garés.Le temps de souffler un peu et nous arrivions à nos véhicules… et tandis que la majorité des participants reprenait le chemin du retour, nous étions tout de même une dizaine à accompagner Marc et Véronique jusqu’au restaurant prévu pour la clôture de cette sympathique journée.
par admin | Mai 29, 2015 | Promenades
Cette année encore, une de nos balades printanières se passait à Calais.
Le calendrier étant très chargé, nous n’avions pu trouver d’autre date que le 2e week-end de mai, jour de la fête des mères et fin de semaine normale, dans fête le lundi ou le vendredi.
Du coup, le nombre de participants était moindre mais le petit groupe des fanatiques de cette promenade avait répondu présent.
Certains prirent la route tôt matin pour profite du samedi entier sur la plage, de notre côté, nous quittâmes Genval après les cours, ce qui nous amena vers 17h30 sur place.
Le groupe se retrouva à l’hôtel où nous primes le temps de déposer nos bagages avant de nous rendre en ville pour un petit tour sur la jetée.La météo de ce samedi n’était guère favorable avec un temps gris et sec mais surtout un vent très violent, venant en ligne droite de la mer.
Du coup, les vagues étaient profondes et il était difficile de marcher droit à cause des bourrasques.Nous allâmes quand même respirer l’air du large jusqu’au phare… profitant du bâtiment pour nous protéger quelque peu…
Ensuite nous allâmes jusqu’à la place principale, proche de la crêperie où nous avons « nos quartiers » depuis de nombreuses années.Un petit tour par la place, le temps pour Toomaï de découvrir les fontaines dont les jets discontinus la surprirent… mais pas longtemps car elle compris vite qu’il était amusant de mordre dans cette eau inattendue.Khépri et Néfi en profitèrent pour prendre un peu de repos avec leurs maîtres puis nous allâmes nous restaurer.
Après une nuit calme et sans histoire puis un déjeuner bien agréable et où nous prîmes notre temps… nous descendîmes vers le cap Blanc Nez.Le temps était particulièrement brumeux et bouché et le petit tour à pied jusqu’au sommet du cap ne nous permit pas de voir les falaises anglaises… ni même les jeux de lumière du soleil sur la mer…Mais qu’à cela ne tienne, il faisait se, le vent de la veille avait fait place à une brise légère à peine perceptible… Que demander de plus ?
Nous descendîmes ensuite le cran d’Escale pour rejoindre la plage où la mer descendait et où nous retrouvâmes Michelle et ses deux border.Les chiens, tous joyeux de retrouver les copines, piquèrent leur premier galop sur le sable tandis que nous nous saluions avant de prendre la direction de Wissant… Sur une plage quasi déserte.
Alors que nous progressions bien à notre rythme, en discutant et en riant des frasques de nos chiens,
un hélicoptère nous survola soudain… Il resta quelques instants en vol statique avant de se poser quelques secondes sur un bunker… puis de repartir aussi soudainement qu’il était apparu… Probablement un exercice…
Nous arrivâmes bientôt en vue de Wissant… Les vacanciers étant plus nombreux sur le sable, les chiens furent remis en laisse et nous nous rendîmes au restaurant où une table nous était réservée.
Les chiens ne demandèrent pas mieux que de boire un petit coup avant de se coucher, au frais et à l’ombre.Quant à nous, nous nous installâmes pour le repas !
Alors que nous en étions presque au dessert, le téléphone de Mina se mit à sonner… Stupéfaite, elle entendit que son mari ayant décidé de lui faire une surprise, était à Calais… à notre recherche !
Elle lui expliqua donc où nous étions et nous l’attendîmes tout en sirotant notre dessert.
Le temps de faire connaissance et nous reprenions le chemin du retour, car la mer était montante et nous voulions repasser par la mer pour retourner à nos voitures. Le soleil avait enfin percé la couche nuageuse et c’est donc sous sa chaleur que nous retrouvâmes la plage
Là où la falaise était plus haute, nous constatâmes avec un peu d’inquiétude que l’eau montait rapidement
et nous fîmes les 500 derniers mètres sur les galets léchés par des vagues de plus en plus hautes.
Un dernier regard vers la plage et nous remontions dans nos voitures, les uns pour un retour vers la Belgique, les autres pour l’hôtel car, chanceux, ils resteraient sur place jusqu’au mardi soir !